Voici un reportage unique dans l’histoire : le seul moment à la télévision française où fut remise en cause la théorie virale du SIDA. C’est l’« hypothèse de Duesberg ».
Le Pr Peter Duesberg y explique que la thèse “le VIH cause le SIDA” ne tient pas debout, car le SIDA peut s’expliquer par la prise de poppers et de drogues.
Le Pr Kary Mullis, Nobelisé pour sa découverte de la PCR, explique qu’aucun des ses collègues n’a pu lui apporter la preuve concrète que le VIH existât ! Autrement dit, toutes les études produites tournent en rond car elles reposent sur le dogme “VIH=SIDA”.
Ce qui donne du crédit à l’équation, ce sont les “tests VIH” abordés à 33’40”. Un groupe de chercheurs dissidents basés à Perth en Australie, a fait le catalogue des protéines qui servent de marqueurs : dans chaque pays, elles sont différentes, et le seuil de positivité est différent ! On peut être séropositif dans un pays et séronégatif dans un autre, avec un même sérum !
Le Pr Luc Montagnier qui est censé avoir découvert ledit VIH, est gêné aux entournures dans ce reportage. Il explique qu’il n’y a en effet pas de transmission hétérosexuelle « et qu’il n’y en aura pas », ce qu’il explique par « la souche qui circule en Europe ». Sans plus de détails… Il défend à l’époque la thèse que des mycoplasmes seraient co-facteurs.
Or 12 ans plus tard en 2008 dans un autre reportage, House of Numbers, le même Pr Montagnier lâche le morceau : il est nécessaire de prendre en compte l’abus de drogues et la malnutrition. Autrement dit il est venu à approuver sans le dire l’hypothèse de Duesberg ! C’est justement à ce moment qu’il est écarté des cénacles…
Neville Hodgkinson, journaliste anglais en Afrique, témoigne que le Sida africain cache des maladies “que l’Afrique a toujours connues” et qui sont dues à la misère. Autrement dit, on se serait servi d’images habituelles, pour alimenter la peur d’une menace nouvelle.
Ce reportage fut réalisé par Djamel Tahi qui enquêta pendant plus de trois ans.
Il fut diffusé sur arte en mars 1996, grâce au soutien du présentateur de Docs en stock Daniel Leconte, qui sous la pression a du diffuser un reportage contradictoire. Car les chiens de garde ont vite aboyé : le jour même de la diffusion du reportage, Libération publia un article écœurant, plein d’insinuations calomnieuses, sans jamais répondre sur le fond.
C’est ce traitement calomnieux et partial que recevront les scientifiques dissidents comme Duesberg, lors de la Conférence de Johannesburg en 2000 où ils étaient invités par le Président Mbeki.
Rendons-leur hommage en regardant et en diffusant ce reportage méconnu… qui vous rappellera sûrement d’autres histoires !