Trop de gens en tirent trop d’argent, et l’argent est bien plus fort que la vérité. L’un des documentaires vidéo les plus puissants de notre époque révèle avec audace la descente aux enfers du complexe médico-industriel moderne dans la corruption la plus totale.
Ce long métrage explique exactement comment la fraude de 300 milliards de dollars du programme AID$ a commencé, pourquoi le VIH ne peut PAS être la cause du SIDA, quelles pourraient être les véritables causes, et qui manipule les bonnes intentions du public tout en empoisonnant des centaines de milliers de personnes avec des médicaments toxiques qui provoquent la maladie même qu’ils sont censés prévenir.
Il s’agit d’une dissection systématique de la machine à VIH/SIDA et de la manière dont elle a détourné un programme conçu pour lutter contre un fléau mondial de souffrance humaine et l’a conduit sur la route de l’enfer. Pourtant, ce programme offre de l’espoir, inspiré par le courage et les arguments articulés d’un groupe de voix de plus en plus nombreuses au niveau international qui remettent en cause l’hystérie VIH=SIDA=Mort. A VOIR ABSOLUMENT pour toute personne désireuse de comprendre réellement les faits concernant le VIH/SIDA.
Vous rencontrerez un certain nombre de scientifiques très réputés qui s’accordent tous à dire que le VIH ne cause pas le SIDA, notamment le Dr Peter Duesberg, qui a été le premier scientifique à cartographier la structure génétique des rétrovirus. Il est rejoint par les lauréats du prix Nobel, le Dr Kary Mullis et le Dr Walter Gilbert, ainsi que par le Dr David Rasnick, expert dans le domaine des inhibiteurs de protéase.
Le VIH/sida est-il l’idole dorée de la science de pacotille ? Jugez-en par vous-même. Produit, écrit et recherché par des professionnels, acclamé par des médecins, des scientifiques, des journalistes et des humanitaires du monde entier, c’est l’encyclopédie vidéo du mouvement dissident du VIH/SIDA ! LE documentaire de référence sur la fraude du VIH/SIDA.
Un documentaire choquant qui révèle que le VIH/SIDA est une escroquerie trompeuse et mortelle.
Il s’agit d’une dissection systématique de la machine à VIH/SIDA et de la manière dont elle a détourné un programme conçu pour lutter contre un fléau mondial de souffrance humaine et l’a conduit sur la route de l’enfer. Pourtant, ce programme offre de l’espoir, inspiré par le courage et les arguments articulés d’un groupe de voix de plus en plus nombreuses au niveau international qui remettent en cause l’hystérie VIH=SIDA=MORT. A VOIR ABSOLUMENT pour toute personne désireuse de comprendre réellement les faits concernant le VIH/SIDA.
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Voici un documentaire de 1996, exceptionnel pour comprendre la mascarade que fut le SIDA… et tant d’autres maladies si médiatiques qui lui ressemblent 🙄
L’enquête démontre que la relation entre “VIH” et SIDA, non seulement n’a jamais été prouvée, mais fut imposée aux chercheurs comme un dogme en 1984, sous peine de censure et de retrait des crédits.
Le Pr Peter Duesberg, microbiologiste, fut le premier, en 1987, à dénoncer cette imposture. En effet, la déficience immunitaire a des dizaines de causes plus évidentes que le “VIH”, comme la prise de drogues de toutes sortes.
Mais aussitôt faite l’annonce de la “découverte” du “virus du SIDA” par le Pr Gallo, on brevetait le “test” censé le détecter. Sa dispute avec Montagnier cachait en réalité une histoire de gros sous…
Duesberg fut rejoint par les prix Nobel de chimie Walter Gilbert et Kary Mullis, et des milliers de chercheurs. Rien n’y fit. On continua de raconter l’histoire du VIH magique, capable à la fois de muter, hiberner, migrer et se réactiver en trois mois comme en trente ans 🤡. Bref, tout sauf accuser l’abus de drogues.
Et le SIDA africain ? (à 41′) c’était le nouveau nom de maladies endémiques.
De même, on trouve des milliers de cas de “SIDA” sans “test” positif. Comme par magie, les maladies retrouvent soudainement leur cause habituelle… (à 47′)
Le documentaire dénonce ensuite le scandale de l’AZT, poison prescrit aux “séropositifs” à partir de 1987 qui induit des effets… comparables au SIDA ! Autrement dit, c’est le remède qui tue ! Tout ça sur la base de tests qui n’ont aucun sens. La corruption règne, même dans les assoces LGBT comme Act Up. Et déjà, un certain Fauci était à la manœuvre.
Un documentaire fondamental pour tous ceux qui veulent ouvrir les yeux sur la mafia médicale…
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Voir le documentaire en VO non sous-titrée :
HIV=AIDS: Fact or Fraud? (1996) – A Stephen Allen Documentary

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La traduction française par ERTV de cet excellent documentaire américain consacré au SIDA est l’occasion de dresser le portrait a posteriori des acteurs de cette opération de sidération mondiale qui a persisté jusqu’à ce qu’un autre virus prenne le relais et tienne le haut de l’affiche à sa place : le Covid-19…
Depuis les années 1980, le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) était le phénomène médical le plus médiatisé au monde… et aussi celui ayant généré le plus d’argent. Aux États-Unis, des centaines de millions de dollars ont été accordés chaque année à la recherche, à partir du moment où les « chercheurs » acceptaient le postulat de Robert Gallo selon lequel le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est l’agent infectieux responsable du SIDA ; toutes recherches contestant cette affirmation ne trouvant jamais aucun soutien institutionnel.
Un constat sur le temps long qui, lorsqu’on le compare à la séquence actuelle, nous pousse vers l’idée d’une narration sciemment choisie par une « élite » à un moment donnée et largement imposée à la masse de manière autoritaire. On peut dès lors parler de « narration oligarchique ».
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Les mêmes schémas narratifs ?
Le rôle des médias est bien sûr incontournable et indispensable dans cette « propagande », mais ce sont bien les « scientifiques » (nous verrons que l’indépendance dans le milieu scientifique est une donnée rare) qui donnent le la, c’est-à-dire la note à suivre. Ce sont eux qui délivrent aux politiques puis aux médias les détails de la narration à propos d’une épidémie.
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