Présentation :
La série de Vincent Reynouard: L’origine du duo “six millions-chambre à gaz”.
En six épisodes, il explique l’origine du chiffre “sacré”, pour les Juifs, des six millions et il dévoile d’où vient la rumeur des “chambres à gaz”, qui remonte aux années 1890.
Enfin, il expose pourquoi, à partir de 1945 à l’Ouest, les dirigeants alliés reprirent à leur compte ce qu’ils savaient être une rumeur infondée, exploitée par la propagande soviétique.
Mais en agissant ainsi, ils mirent le doigt dans l’engrenage sioniste…
- Épisode 1 : L’origine du chiffre des « six millions »
- Épisode 2 : L’origine du mythe des « chambres à gaz »
- Épisode 3 : 1942-1945 : les dirigeants alliés ne croient pas aux « chambres à gaz »
- Épisode 4 : Les Alliés mentent sur Dachau pour accréditer le mythe des « chambres à gaz »
- Épisode 5 : La « chambre à gaz » de Dachau : symbole du mythe des « chambres à gaz »
- Épisode 6 : Chambres à gaz » : une histoire fondée entièrement sur des faux témoignages et des « aveux » extorqués
- Épisode 7 : Conclusion
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.1 – 19’42)
Les sionistes et le «chiffre sacré» des «six millions»
Dans cet épisode, Vincent Reynouard explique pourquoi, depuis la fin du XIXe siècle, les sionistes invoquaient le chiffre de «six millions»: pour les Juifs, c’était le «chiffre du peuple de Dieu». Puis il raconte comment, en 1944-1945, les sionistes ont agi pour que les (futurs) vainqueurs reprennent ce chiffre.
Plan de l’épisode
I. L’origine du chiffre des «six millions»
- 1890-1939: toujours et partout «six millions» de Juifs en danger
- 1939-1940: les activistes juifs crient à «l’extermination»
- À l’origine des «six millions»: un verset de la Bible considéré comme annonçant le retour des Juifs en terre d’Israël
- 1940-1944: les activistes juifs parlent de «six millions» de victimes
- Janvier-août 1945: propagande sioniste et manipulation des masses
- Septembre-novembre 1945: Les sionistes parviennent à imposer le chiffre des «six millions»
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.2 – 6’50)
Les faits qui inspirèrent le mythe des «chambres à gaz»
Les «chambres à gaz» ne sont pas sorties de rien. À la fin du XIXe siècle, l’État de New York gazait les chiens errants. A Londres aussi, on les gazait; une fois le chien mort, il tombait dans un crématoire qui le consumait. En 1908, les directeur d’un crématoire londonien proposa d’étendre cette méthode aux vagabonds, aux clochards, aux simples d’esprit et, plus généralement, tous ceux dont la vie aurait été jugée inutile. Tous ces éléments intervinrent dans l’apparition, en 1941, de la rumeur des « chambres à gaz ». Vincent Reynouard l’explique…
Plan de l’épisode
- Les « chambres à gaz » à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle
- Les « chambres à gaz » pendant la première guerre mondiale
- 1921-1939 : les USA adoptent et généralisent l’exécution des condamnés à mort en « chambre à gaz »
- 1941 : la rumeur des « chambres à gaz » ressurgit en… Allemagne
- 1942 : la rumeur des « chambres à gaz » atteint les ghettos de Pologne et se propage chez les Alliés
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.3 – 16’27)
1943-45: les dirigeants alliés ne croyaient pas aux «chambres à gaz»
À partir de 1942, des nombreuses informations venues de Pologne et d’URSS accusèrent les Allemands d’exterminer les Juifs en les gazant. Mais à l’Ouest, les dirigeants n’y accordèrent aucun crédit. Dans cet épisode, Vincent Reynouard le démontre et explique pourquoi ni Roosevelt ni Churchill n’étaient dupes de ces histoires.
Plan de l’épisode
- Des vieux bobards recyclés
- Août 1943: les Alliés refusent de parler des «chambres à gaz»
- Août 1944: la propagande soviétique exploite le bobard des «chambres à gaz»
- Août 1944-mars 1945: pourquoi, à l’Ouest, les dirigeants alliés n’accordèrent aucun crédit à la propagande soviétique
- Les clichés aériens d’Auschwitz pris et analysés par les Alliés
- Des analystes qui n’ont vu aucun massacre de masse: les explications ineptes des historiens
- Les analystes n’ont rien vu parce qu’il n’y avait rien à voir
- Les «chambres à gaz»: un bobard de la propagande soviétique destiné à galvaniser les soldats de l’Armée rouge
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.4 – 10’12)
1945: Les Alliés cautionnent le mythe pour justifier leurs crimes
Dans cet épisode, Vincent Reynouard explique pourquoi et comment, à partir du printemps 1944, les dirigeants anglo-américains ont choisi de cautionner les bobards grossiers de la propagande soviétique sur les “chambres à gaz”. Fin mars 1945, ils promettaient même de juger Hitler pour «assassinats en chambres à gaz». Début avril, Radio-Berlin démentit la propagande sur les gazages homicides. Pour répliquer, les Anglo-américains cautionnèrent davantage les bobards soviétiques. Mais ils devaient, eux aussi, montrer une “chambre à gaz”. Voilà pourquoi le 29 avril 1945, ils en “découvrirent” six au camp Dachau. Restait à organiser le mensonge…
- 1942-1945 :Les Alliés ont commettent des crimes qu’ils ont toujours condamnés chez les autres
- Mars 1945 : les alliés de l’Ouest reprennent les bobards de la propagande soviétique
- Avril 1945 : les Allemands démentent, les alliés renforcent leur propagande
- Avril-mai 1945 : acculés, les Alliés occidentaux « découvrent » des chambres à gaz à Dachau
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.5 – 21’03)
1945: les Alliés mentent sur Dachau pour accréditer le mythe des “chambres à gaz”
Dans cet épisode, Vincent Reynouard prend les Anglo-américains en flagrant délit de mensonge sur les “chambres à gaz”. Documents à l’appui, il expose la propagande que les vainqueurs ont organisée autour de Dachau : après avoir affirmé l’existence d’une “chambres à gaz” dans ce camp (mai-octobre 1945), les Anglo-américains ont abandonné cette accusation lors du procès de Dachau (novembre-décembre 1945). Mais ils l’ont reprise au le grand procès de Nuremberg, car ils n’avaient rien d’autre à produire (la propagande soviétique étant plus grotesque encore). Pour servir leur mensonge, ils ont demandé à un ancien prisonnier à Dachau, Franz Blaha, de corser sa déclaration afin de la rendre plus accusatrice.
Plan de l’épisode
- Les Alliés cachent le fait que Dachau fut frappé par le typhus dans les quatre derniers mois de la guerre
- La vérité sur les conditions à Dachau
- a. 1942-1944 : un camp bien tenu
- b. Dachau : un camp hôpital débordé dans les derniers mois
- Printemps-été 1945 : les Alliés orchestrent une propagande autour de la « chambre à gaz » de Dachau
- Automne 1945 : les Alliés abandonnent le mythe de la « chambre à gaz » de Dachau
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.6 – 11’08)
Comment Dachau fournit l’archétype de la “chambre à gaz homicide nazie”
Dans cet épisode, Vincent Reynouard démasque les tromperies dont se sont rendus coupables les Américains afin de fabriquer leur “chambre à gaz” à Dachau et, ainsi, d’accréditer le mythe des «six millions-chambres à gaz».
Plan de l’exposé
- L’ineptie flagrante de la thèse officielle
- La tentative désespérée d’Henry Mazal pour sauver la thèse officielle
- Une salle de douche aménagée en chambre à gaz expérimentale temporaire
- Les Américains ont trafiqué les lieux
L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.7 – 18’48)
Un mensonge alliée qui permit la victoire du sionisme
Dernier épisode et conclusion. V. Reynouard explique comment, en 1945-1946, les Alliés ont accrédité, pour leur propre compte, le bobard soviétique des “chambres à gaz”.
Ils ont odieusement torturé des Allemands pour qu’ils signent les confessions qu’on exigeait d’eux.
Mais les vainqueurs se sont alors trouvés piégés par les sionistes qui ont saisi l’occasion pour exiger et obtenir, au nom des «6 millions d’exterminés», l’État d’Israël…
Source : le site de Vincent Reynouard (VPN anti-censure indispensable) : https://blogue.sansconcession.net/
Petit rappel des définitions et de leur validité…
Les mots sont importants.
L’antisémitisme désigne les sémites. Et le sémitisme est une théorie linguistique qui désigne les peuples qui pratiquent une langue sémitique.
L’antisémitisme est donc un terme particulièrement impropre pour parler des juifs, puisque les sémites de très loin les plus nombreux sont les Arabes…
Le terme sémite est d’autant plus impropre pour parler des Israéliens, étant donné que la plupart des juifs d’Israël sont originaires d’Europe centrale, quand ils ne sont pas des Berbères judaïsés, soit des juifs du Maghreb appelés Séfarades…
Par ailleurs, la loi française, sur le fondement de la laïcité, qui est la séparation des Églises et de l’État, soit la neutralité en matière de religions (il n’y a pas en France de religion officielle) nous donne le droit de critiquer toutes les religions présentes sur notre sol.
Et comme il en va de la libre critique du catholicisme et de l’islam – particulièrement virulente ces dernières années –, la loi française nous donne également le droit de critiquer le judaïsme, d’être donc judéo-critiques, voire, judéophobes (soit d’avoir peur du judaïsme).
De même, la loi française nous donne le droit de critiquer la politique d’un État quel qu’il soit (il n’y a pas d’État sacré) et donc d’être antisioniste : soit de critiquer la politique de l’État d’Israël.
On a donc, selon la loi française, le droit d’être judéocritique et judéophobe (de ne pas aimer et d’avoir peur de la religion juive) et d’être antisioniste (de ne pas aimer et d’avoir peur de la politique d’Israël).
En revanche, le racisme – défini comme incitation à la haine raciale – est interdit, mais il est utile de rappeler que si le judaïsme est un racisme (par la notion de peuple élu dont l’élection s’acquiert et se transmet fondamentalement par le sang), les juifs ne constituent pas une race…
Dès lors, pourquoi continuer à parler d’antisémitisme, terme impropre, quand il s’agit explicitement d’antisionisme et d’antijudaïsme ? D’autant plus que le sionisme et le judaïsme sont à la fois profondément liés et profondément éloignés des valeurs chrétiennes dont sont issus les droits de l’homme ?
Quant aux notions de « communauté juive » ou de « peuple juif », quand il ne peut s’agir, sur le sol de France et selon le même droit français, que de « Français de confession juive » en vertu de la liberté de culte, ces deux expressions, reprises à longueur de temps par les médias, sont tout aussi infondées et abusives que celle d’antisémitisme…
Venons-en enfin à l’argument – sans aucun fondement juridique – selon lequel l’antisionisme ou l’antijudaïsme serait de l’antisémitisme (pris dans le sens de racisme) déguisé. Un argument parfaitement réversible, puisque, selon ce même principe abusif, toute critique de l’islam pourrait être qualifiée de racisme anti-arabe déguisé, et toute critique du catholicisme, de haine déguisée de notre culture et de notre civilisation françaises, en vertu de la place tenue par le catholicisme dans l’histoire de notre pays…
Ce qu’évidement personne n’aurait l’outrecuidance de prétendre !
Mise en garde importante !
Cette vidéo, comme toutes les vidéos présentes dans cette catégorie : « Hitler Réhabilitation », n'est pas là pour faire l'apologie de quelque idéologie quelle qu'elle soit.
Elles ont juste pour vocation de rétablir la vérité sur la Véritable Histoire (Histoire avec un grand H).
En effet, toute l'histoire que l'on croit connaître en mensongère. Celle-ci est écrite, comme nous le savons tous, par les "vainqueurs".
Et ce ne sont pas en étant "fair-play" et (sans mauvais jeu de mot) "de bonne guerre", qu'ils l'ont été (vainqueurs).
Les vidéos de cette catégorie, devraient vous apporter une autre vision de qui était cet Homme, Adolf Hitler, que l'ont nous a conditionné à détester, à vomir même, et ce, depuis notre plus tendre enfance.
De ce qu'il a fait pour son peuple, et de ce qu'il était prêt à faire pour le peuple Européen dans son ensemble.
Je n'apporte ici qu'une modeste contribution au travail de Réhabilitation d'Adolf Hitler, et de la vérité concernant cette période de l'Histoire.
Pour approfondir pleinement le sujet, je vous recommande vivement de suivre DIDI18, Vincent Reynouard et sa nouvelle chaîne Odysee.