Quoi qu’on en dise, il n’est pas possible de remettre en cause le « Nouvel Ordre Mondial » qui est actuellement en train d’être mis en place, les faits sont là et incontestables, et si l’on doit parler du Nouvel Ordre Mondial, il faut également aborder le sujet de l’Agenda 2030 qui n’est pas connu du plus grand nombre même s’il n’est pas aussi secret que le TAFTA comme on peut le voir ici pour la France, et là en résumé :
L’Agenda 30 a été mis en place en 1992 lors de la conférence des Nations-Unies sur l’environnement et le développement à Rio de Janeiro au Brésil, organisée par Maurice Strong, un milliardaire canadien du pétrole et des affaires et porte-parole des Rothschilds et des Rockefellers. Strong fut le chef de file pour le programme d’exploitation de l’environnement pour arnaquer les personnes, main cachée de l’environnement dans le réseau de la Table Ronde qui comprend le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale et le Conseil des Relations Extérieures.
Strong disait à l’appui de l’Agenda 30 : « N’est-ce pas le seul espoir pour cette planète que la civilisation industrialisée s’effondre ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? » C’est un homme qui est devenu super-riche grâce à l’industrie du pétrole. Il vit aujourd’hui en Chine dans un luxe de milliardaire où l’industrie émettrice de carbone s’envole et il est directeur du Chicago Climate Exchange [CCX en abrégé] (dont le principal actionnaire est Goldman Sachs), qui est le premier projet mondial et le seul système de réduction des gaz à effet de serre de valeur légale en Amérique du nord.
Le CCX a été mis en place avec un financement de la Fondation Joyce où Barack Obama fut un jour directeur. Strong et Al Gore s’en sont mis plein les poches grâce au Carbon Exchange et autres moyens grâce aux mensonges dont ils font la promotion sur le changement climatique et aux solutions qu’ils proposent. Kate Johnson a écrit sur le site de Global Research : « Les mêmes hommes qui nous ont vendu le mythe du réchauffement climatique causé par l’homme sont les mêmes qui nous ont venu la « solution » d’une taxe carbone et le Emissions Trading Scheme [système d’échange de quotas d’émissions] et aujourd’hui ils profitent de leurs investissements lucratifs basés sur des mensonges ». Strong s’est envolé pour la Chine en 2006 après avoir été accusé de corruption en rapport avec le pétrole des Nations-Unies pour le programme alimentaire.
La propagande sur le changement climatique est une technique de non-problème-réaction-solution pour justifier l’Agenda 30 et son compagnon, le Traité sur la Biodiversité. C’est un document internationalement contraignant impliquant presque 200 pays. Les US ont signé le traité, mais il n’a pas été ratifié par le Sénat après que des gens comme le Dr Michael Coffman, écologiste et scientifique de l’écosystème ait exposé ses réelles conséquences et implications. Il dit avoir compris pendant les années 80 et 90 que le plan était de prendre comme excuse une protection de l’environnement pour confisquer la moitié des terres des US. Des plans similaires existent pour tous les autres pays. L’Amérique a pu ne pas ratifier le traité, mais il est mis en œuvre actuellement. L’Agenda 30 demande un contrôle mondial centralisé de toutes les terres ; de toutes les propriétés privées, de toutes les sources et distribution d’eau et de toute la production et la distribution alimentaire.
L’Agenda 30 est nommé « agenda pour le 21ème siècle » et il fait penser à un fascisme/communisme mondial. Voici un résumé de ce que l’Agenda 21/Développement Durable/Biodiversité cherche à imposer :
• La fin de la souveraineté nationale
• La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l’eau douce; l’agriculture; le développement rural; la biotechnologie; et l’assurance d’une « équité » (esclavage équitable)
• L’État « définit le rôle » des entreprises et des ressources financières
• Abolition de la propriété privée
• « Restructuration » de l’unité familiale
• Des enfants élevés par l’État
• Travail obligatoire sans condition
• Restrictions majeures des déplacements
• Création de « zones de peuplement humain »
• Repeuplement de masse car les personnes sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient auparavant
• Éducation abrutissante
• Dépopulation mondiale massive à la poursuite des éléments ci-dessus
Cet horrible programme est coordonné par les Nations-Unies, fer de lance d’une dictature mondiale, via un réseau non-gouvernemental appelé autrefois le Conseil International d’Initiatives d’Environnement Locales [en anglais ICLEI, International Council of Local Environmental Initiatives] et aujourd’hui connu comme Gouvernements Locaux pour la Durabilité, bien que le nom abrégé ICLEI soit toujours en usage. Les Nations-Unies ouvrent maintenant des « ambassades »