Cette vidéo est un extrait d’une conférence donnée en 2008 par la médecin neurologiste Rima E Laibow.
Entre 1950 et 2008, le nombre de cancer a augmenté de 300% dans le monde, et dans la même période, les aliments ont perdu 50% de leurs nutriments (vitamines, minéraux, oligo-éléments, etc.).
Ce résultat effarant s’explique aisément : durant cette même époque, 500 nouveaux produits chimiques ont été autorisés pour l’agriculture, et aussi, dans les aliments…
Un document essentiel pour connaître et comprendre des aspects historiques méconnus incroyables de cette funeste commission, ainsi que leurs conséquences.
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Le cartel de la mort
Jamais le cynisme n’avait atteint une telle ampleur. On suspectait certains laboratoires de se frotter les mains quand la pollution urbaine entraînait un pic de crises d’asthme et autres joyeusetés respiratoires. On soupçonnait les industries agroalimentaires de surcharger nos aliments de sel, sucre, mauvaises graisses et produits chimiques dangereux, participant ainsi à la pandémie de maladies cardiovasculaires. On pensait naïvement que nos dirigeants soumettaient les médicaments à des tests rigoureux faits par des laboratoires indépendants … On tentait tant bien que mal de se soigner en remplaçant à nos frais des médicaments douteux par des cures de compléments alimentaires. Maintenant, les certitudes sont là : nous sommes en otage d’une vaste organisation criminelle mondiale !
Les vraies raisons du Codex Alimentarius
Les lobbies pharmaceutiques, affaiblis par les scandales répétés d’effets secondaires graves et mortels de produits de grande consommation, doivent faire face à une menace terrible : la concurrence des compléments alimentaires. Pour cela, ils ont formé un cartel qui, sous l’égide des Nations Unies, avec une commission chargée de mettre en place (dans le plus grand secret) un code international appelé Codex Alimentarius. Cette commission prouve non seulement que le cartel passe au dessus des gouvernements en infiltrant l’organisation mondiale de la santé (OMS) et du commerce (OMC) mais qu’il a le pouvoir de réglementer notre santé et notre alimentation en imposant des sanctions aux pays qui ne suivraient pas leurs recommandations.
Au programme, le Codex envisage le plus sérieusement du monde de limiter l’accès aux nutriments essentiels et vitamines notamment, en diminuant drastiquement les doses, en contrôlant la fabrication et la vente. Pourtant, les compléments alimentaires sont souvent bien plus efficaces que les médicaments prescrits qui tuent 150.000 personnes chaque année aux USA (l’équivalent d’un crash aérien avec 400 personnes à bord chaque jour !) et 15 000 en France.
Les intentions du Codex Alimentarius
1 – Aucun complément alimentaire ne doit être vendu dans un but préventif ou thérapeutique.
2 – Tout remède à des doses supérieures à la norme fixée, est assimilé à un médicament nécessitant une prescription et devant être produite dans les entreprises pharmaceutiques.
3 – Plus de 5000 produits vendus aujourd’hui sont en cours d’être bannis des magasins.
4 – Les régulations du Codex et la réduction drastique des compléments alimentaires sera imposée par le cartel à tous les pays et sous peine de sanctions commerciales.
5 – Tout complément alimentaire sauf non testé et approuvé par le Codex sera interdit.
6 – Dès 2015, les teintures mères et produits basiques de la phyto devront faire l’objet d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) en tant que médicaments.
Ceci est d’autant plus injustifié et abusif que ces extraits de plantes existent et sont utilisés depuis des millénaires et ne font l’objet d’aucun brevet.
La réduction drastique des compléments alimentaires sera imposée par le cartel à tous les pays et sous peine de sanctions commerciales.
Un historique effarant
Voici un extrait traduit d’une conférence de Rima E Laibow, médecin neurologue :
“Je vais vous parler du Codex Alimentarius et vous aider à comprendre l’ennemi. Ce que je vais vous dire n’est ni exagéré, ni interprété, ni imaginaire, mais parfaitement documenté, d’autant plus que je suis très près du Codex Alimentarius depuis plus de 10 ans.”
Comment s’est constitué le Codex Alimentarius ?
“Après la deuxième guerre mondiale, les gens qui avaient commis des crimes contre l’humanité furent jugés à Nuremberg par un tribunal dirigé par les USA et l’Angleterre. Une des personnes qui furent condamnées à l’emprisonnement était le président d’un gigantesque complexe industriel : l’IG Farben. Celui-ci produisait le fameux Zyklon pour les chambres à gaz ainsi que l’acier pour les camps de la mort. Il produisait aussi des munitions, des produits chimiques divers et des produits pharmaceutiques. Ce président condamné pour crimes contre l’humanité était un artiste plein d’idées (machiavéliques) : il avait inventé le slogan à l’entrée d’Auschwitz : “Le travail rend libre”.
En prison où il avait tout le temps de la réflexion, il se dit : « Cela n’a pas marché, que pourrions-nous faire ? J’ai une idée : la nourriture !
Qui contrôle la nourriture contrôle le monde !
À sa sortie (précoce) de prison, le criminel alla immédiatement présenter son idée à ses amis de l’IG Farben qui la trouvèrent géniale. Ils créèrent aussitôt une commission qui ne concernait ni la santé, ni les consommateurs, mais uniquement le commerce, et ils la baptisèrent : « “Codex Alimentarius”. Le but était le profit à grande échelle et uniquement cela. De cette commission mondiale émergèrent des sous commissions pour la pêche, l’huile, les fruits et légumes… soit 27 en tout. C’est devenu un énorme monstre bureaucratique. Le Codex a promulgué plus de 4000 décrets et réglementations sur tout ce qui peut se mettre dans votre bouche, sauf les produits pharmaceutiques, bien sûr.
L’empire austro-hongrois de l’époque, dans l’esprit germanique, voulait des règles, beaucoup de règles, et de l’ordre. Il fallait que les cours de justice puissent se prononcer sur tout ce qui concerne la nourriture. Pendant ce temps le Codex faisait la promotion de ses règlements au niveau mondial. À la demande de l’ONU (organisation des nations unies), L’OMS (organisation mondiale de la santé) et la FAO (organisation de l’agriculture et de la nourriture) furent créées. Lorsqu’elle fut créée en 1994, l’OMC (organisation mondiale du commerce), se demanda comment elle allait trancher les conflits commerciaux en matière de nourriture, et fut bien contente de trouver la règlementation prête à l’emploi du Codex. Depuis, tous les pays membres de l’OMC sont tenus de se soumettre aux normes du codex.
Le point actuel
“Vous devez comprendre que le Codex n’a rien à faire des intérêts des consommateurs ; il ne se préoccupe pas de votre santé, mais des seuls intérêts des multinationales médicales, agro-alimentaires, chimiques, et biotechnologiques. Sachez que les nutriments naturopathiques (vitamines et minéraux) vont être limités à 18, et que les plus efficaces vont être interdits, et ce sera illégal !”
Depuis plusieurs années, les produits laitiers que vous consommez proviennent de vaches obligatoirement traitées aux hormones de Monsanto – tous les animaux destinés à la consommation doivent être traités aux antibiotiques et aux hormones de croissance. Le Codex exige que toute nourriture soit irradiée (comme chez Mac Do), sauf la nourriture crue.
Neuf des pires produits chimiques connus sont des pesticides. Mais le Codex a rendu légaux sept de ces neuf poisons chimiques qui avaient été interdits dans 176 pays. Et la nourriture qui contient ces saloperies ne peut pas être refoulée aux frontières de nos pays – sinon ce serait une violation des traités commerciaux de l’OMC ! C’est comme cela que marche le Codex Alimentarius !
Le traité transatlantique, solution finale
Ce qui nous attend pour 2015 est tellement grave que c’est à peine croyable et l’inquiétude est vive !
Alors que des millions de gens tentent avec succès des médecines parallèles et autres régimes diététiques, la nouvelle inquiète à la fois ceux qui en vivent (fabricants, distributeurs) et ceux qui en guérissent (consommateurs). La FDA (Food and drug administration) avait tenté en 1993 de prendre le contrôle de la santé des américains, mais devant le tollé général, le congrès avait voté une loi protégeant ce droit à la liberté. Depuis, le cartel, loin de renoncer, a pour ainsi dire court-circuité tout le monde grâce à un lobbying soutenu auprès de l’OMS et de l’OMC.
Les pétitions à l’UE sont inutiles, les votes des députés européens sont manipulés ou ne sont pas pris en compte, et les décisions sont en fait prises par une poignée deb pions non élus et désignés par le gouvernement mondial invisible des grands lobbies industriels et bancaires. Bref, le but est de gérer les peuples comme du bétail !
Conclusion
Il est clair que nous nous enfonçons dans une normalisation internationale de l’alimentation par la légalisation obligée d’une malnutrition toxique. Ce plan mondial préparé depuis longue date a pour vocation de réduire d’une façon rentable la démographie planétaire par la maladie et la faim.
En doutiez-vous encore ? Philippe Desbrosses écrivait déjà il y a 15 ans :
“Nous risquons de mourir de faim sur un sac de riz” (empoisonné). A nous de résister et de nous organiser pour ne pas en arriver là, face à cette organisation criminelle, d’origine nazie…..
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Depuis plus d’un demi-siècle, l’homme est devenu la cible de ses propres attaques cachées, destinées à se détruire lui-même, en lui fragilisant sa santé, à travers un processus délibérément calculé et programmé. Le but caché, mais non déclaré, de ceux qui se sont autoproclamés l’élite mondiale et les maîtres du monde, est la réduction calculée et planifiée de la population de la planète, un processus qui est en plein déroulement et qui permet à ces individus d’exercer leur contrôle sur démographie mondiale. Ce n’est pas par hasard que ces individus, qui agissent en tant que « leaders de l’humanité » sont exactement ceux qui ont conçu, élaboré et mis en œuvre, de manière obscure, les principes de gestion globale de ce qu’ils appellent aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial (New World Order). Ce qu’ils ont suivi et suivent encore les artisans du Nouveau Ordre du Monde, ce n’est rien que le contrôle total de toutes les ressources planétaires existantes (matérielles, humaines, financières, alimentaires, etc.), un contrôle peut être assurée grâce à la mis en place d’un programme très bien développé quant à la gestion serrée des ressources de toutes sortes, voire naturelles, financières, nutritionnelles, etc. Il semble à l’évidence, qu’après avoir gagné le contrôle total de la finance mondiale, l’exercice d’un contrôle extrêmement raffiné sur la démographie globale, est en train de se réaliser, par le contrôle total de la nourriture nécessaire à l’espèce humaine.
Il est tout à fait logique que « ceux qui contrôlent la nourriture, contrôlent le monde[1] ».
Basé sur les recherches approfondies et sur les conclusions bien argumentées de la Directrice Médicale de la Fondation des Solutions Naturelles des Etats-Unis (National Solutions Foundation), Dr. Rima E. Laibow, le projet caché du control des aliments au niveau planétaire aurait commencé en 1962, quand on a mis les bases de l’élaboration et de l’implémentation totale d’un instrument perfectionné du contrôle globale de la nourriture, baptisé CODEX ALIMENTARIUS, instrument qui aurait été implémenté au niveau global au 31 décembre 2009. En latin, Codex Alimentarius signifie « lois, normes ou règlements des aliments » qui, une fois appliqués à l’échelle mondiale, pourraient être considérées comme un paquet de « lois, normes ou règlements alimentaires globales ». Ce Code Alimentaire Globale fonctionne selon le Code Napoléonien, en vertu duquel « tout ce qui n’est pas explicitement permis, est automatiquement interdit[2] », fait qui se traduit dans le système américain du Common Law, ainsi : « une telle chose ne doit pas être expressément autorisée, pour qu’elle soit considérée légale[3] ». Ainsi, le Codex Alimentaire Bonapartiste permet, de manière implicite, l’interdiction des choix naturels basés sur l’alimentation nutritionniste saine, liberté dont chaque citoyen de notre Planète devrait en jouir.
Le Codex Alimentaire Global est géré et imposé à tous les états nation par la Commission du Codex Alimentaire (Codex Alimentarius Commission) – commission créée en 1962 par les Nations Unies, ayant plutôt le rôle d’une Commission du commerce (Trade Commission) et dont l’activité est centrée exclusivement sur le commerce et les profits des sociétés multinationales. La Commission du Codex Alimentaire est une agence de l’Organisation des Nations Unies, commanditée, et donc financée, simultanément par l’Organisation mondiale de la santé (World Health Organisation = WHO) et par l’Organisation de l’Alimentation et de l’Agriculture (Food and Agriculture Organisation = FAO). « Ces deux organisations, l’OMS et la FAO, financent le Codex et l’administre à la demande des Nations Unies. Alors, ils sont “maman“ et “papa“ pour le Codex Alimentarius[4] ». Les décisions de la Commission du Codex Alimentaire sont mis en œuvre par l’Organisation mondiale du commerce (World Trade Organization = WTO) et considère ses lignes directrices et ses normes comme un moyen de conditionnement de la réglementation présomptive des litiges commerciaux interétatiques. En d’autres termes, si les différends commerciaux entre les deux pays sont jugés sur la table de l’Organisation mondiale du commerce, l’Etat qui n’a pas encore adhéré aux règles du Codex Alimentaire, n’aurai certainement pas avoir gain de cause !
Parmi les idées exposées par Dr. Rima E. Laibow à la Conférence de l’Association nationale des professionnels de la nutrition, tenue aux États-Unis en 2005 (National Association of Nutrition Professionals), il est à noter « qu’en 1994, le Codex, sans avoir fait aucune annonce publique à cet égard aux Etats-Unis, a déclaré les nutriments … et maintenant mettez vos ceintures de sécurité intellectuelles… comme étant des toxines ; alors, les nutriments sont donc des poisons ![5] ».
Selon le Codex Alimentaire, chaque vache de la planète doit être traitée avec l’hormone de croissance bovine recombinant Monsanto. Plus encore, selon le même Codex Alimentaire, tous les animaux sur la planète utilisés pour la nourriture doivent être traités avec des antibiotiques sous-cliniques (sans pour autant que l’animal soit malade !) et avec des hormones de croissance exogène, donc étrangers à l’organisme de l’animal.
Le Codex Alimentaire est composé de nombreuses règles et règlements relatifs à tous les aspects de la nourriture. Une de ces règles a déjà été ratifiée / approuvée en juillet 2005, voire la destruction, par le Codex-même, du Guide des minéraux et vitamines. Ainsi, dans sa forme approuvée en 2005, le Guide des minéraux et vitamines (GMV) peut interdire tout produit naturel à haute teneur en vitamines et minéraux, cliniquement efficace. Classé comme des toxines, les minéraux, les vitamines et les plantes médicinales seront désormais disponibles sur le marché, uniquement à des doses qui n’auront pas d’impact bénéfique sur le corps humain. Par exemple, la vitamine C pourrait être limitée à seulement quelques milligrammes par dose, ce qui la rend inefficace à un corps humain, auquel il lui est recommandé une contribution substantielle de la vitamine C.
D’autres nutriments, comme les aminoacides, l’onzième Q10, les glucosamines, etc., sont également menacés de devenir « illégaux », par la mise en œuvre des orientations définies dans le Codex Alimentaire Bonapartiste. Fondamentalement, les règles établies dans le Codex Alimentarius exigent le retrait des suppléments alimentaires naturels et le remplacement de tous ceux-ci par 28 produits pharmaceutiques de synthèse – là on parle des véritables toxines et poisons – qui seront disponibles dans les pharmacies et les magasins de produits naturels et cela, sur ordonnance seulement.
Par exemple, l’une des substances hautement toxiques promues par le Codex Alimentaire est l’ASPARTAME – un édulcorant artificiel présent dans tout produit sans ou avec contenu réduit de sucre, disponible sur le marché. Ce substitut du sucre a trois composantes hautement toxiques dans son contenu, respectivement le méthanol – qui provoque la cécité, l’acide aspartique – causant des lésions au niveau du cerveau, fait connu depuis 1970 et la phénylalanine – qui peut provoquer des fissures et / ou des traumatismes cérébraux. L’Agence américaine “Food and Drug Adminsitration” (FDA) avait publié dans les années 80 une série de 92 effets secondaires extrêmement graves de l’aspartame, tels que des étourdissements, des problèmes d’équilibre, des douleurs et des crampes abdominales, vision floue, crises, convulsions, etc. Il semble que le système nerveux est le plus touché par la consommation d’aspartame !
A l’occasion de sa participation à la Conférence de NANS 2005, Dr Rima E. Laibow a lancé une alerte basée sur des chiffres officiels annoncés par même ceux qui financent le Codex, en soulignant que : « Selon leurs propres projections épidémiologiques, faites même par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation de l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), seulement les lignes directrices sur les vitamines et les minéraux aurait eu comme résultat au moment de sa mise en œuvre, le 31 Décembre 2009, un minimum de 3 milliards de morts, avec un grand M qui vient du… Maléfique. Parmi eux, 1 milliard de personnes vont mourir de faim tout simplement. On dirait que ces personnes qui vont mourir de faim, n’ont pas eu du succès, économiquement parlant, de point de vue grandes corporations multinationales. Les 2 autres milliards vont mourir de malnutrition, parce que la nourriture est mauvaise ! Qui va survivre ? Probablement ces gens qui sont assez riches et puissants, qu’ils puissent s’assurer la détention de leurs propres dispositifs d’aliments sains et nutritifs. Nous avons donc besoin de votre aide, parce que les dirigeants américains veulent faire, ce qui est littéralement appelé, le DEPEUPLEMENT PLANETAIRE. Les Nations Unies ont publié des dizaines de documents publics qui font appel à des mesures pour réduire la population de 80%. En effet, à la Conférence mondiale des femmes, tenue à Beijing en 1997, le chef du programme alimentaire des Nations Unies a déclaré : “Nous utiliserons la nourriture comme une arme contre les gens”[6] ».
Un autre produit chimique, utilisé comme un outil pour maintenir l’humanité dans un climat de permanente confusion est le fluorure de sodium, substance présente dans la composition de dentifrice et dans l’eau potable, à laquelle on ajoute de nombreux autres produits chimiques et toxiques qui se trouvent dans la nourriture (comme les si controversés E), tous ceux-ci étant des ingrédients destinés à réduire le niveau de la conscience humaine individuelle. Cette fluorure de sodium, utilisée comme ingrédient dans les produits dentaires et présente tout aussi bien dans les réserves d’eau, n’est rien d’autre qu’un déchet toxique, un sous-produit de l’aluminium qui, selon les études réalisées par des vrais chercheurs dans le domaine, n’apporte absolument aucun bénéfice sain ou biologique et n’a aucun effet pour éviter d’endommager les dents.
En fait, le fluorure de sodium provoque la fluorose dentaire, le jaunissement des dents et des dommages au niveau d’émail dentaire. Il est bien connu que le fluorure de sodium a des conséquences désastreuses pour la santé de l’individu humain, telles que le l’affaiblissement ou le cancer des os, les déformations articulaires et la réduction des niveaux d’estrogène et de testostérone. En outre, ce produit toxique inhibe les fonctions du cerveau et encourage la docilité, ce qui transforme les gens en individus soumis, obéissants et indifférents face à tout ce qui les entoure. Expérimentalement on a constaté, que les personnes sous l’influence de cette substance réagissent avec une indifférence frappante face à des événements de nature choquante. Le fluorure de sodium a d’abord été utilisé par les Russes, lors des expériences axées sur la manipulation mentale des prisonniers dans les goulags, et ensuite par les nazis dans les camps d’extermination. Suite à ces expériences, on pouvait voir clairement, que les détenus qui buvaient de l’eau avec du fluorure étaient plus dociles et plus faciles à contrôler que les autres prisonniers qui ne consommaient pas de l’eau ˝améliorée˝ avec cet ingrédient toxique.
Ce n’est pas par hasard que les composantes du fluorure sont des ingrédients actifs qui entrent dans la composition de la plupart des antidépresseurs comme le Prozac, en démontrant clairement leur capacité à réduire la motivation et l’agressivité des patients qui les utilisent. Afin de mieux comprendre les soi-dites ˝avantages˝ du fluorure, il suffit de consulter les ingrédients inscrits sur l’emballage d’un paquet de n’importe quelle marque de poison contre les rats et on peut voir que l’un des éléments, si ce n’est pas le seul, entrant dans la composition de ce meurtrière substance est le fluorure de sodium ! Au fur et à mesure que les gouvernements des états qui se trouvent sous le contrôle du Nouveau Ordre du Monde réalisent que les gens se réveillent, augmentent la dose de fluorure dans les réserves de l’eau et dans le dentifrice, tout en invoquant la santé dentaire comme raison.
Par exemple, la population de la Roumanie, état petit qui ne jouit d’aucune protection externe et qui est dominé intérieurement par un manque quasi-total d’intérêt de toutes les forces politiques qui se sont périnées au pouvoir depuis “Décembre 1989”, s’est avérée extrêmement vulnérable et totalement dépourvue devant la menace de l’implémentation du Codex Alimentaire, étant d’ailleurs l’une des premiers populations cobayes sur lesquelles ont été testés des substances toxiques, promues par cet instrument de dépopulation planétaire. Ainsi, dans un des rares moments d’honnêteté et d’objectivité sur les questions d’intérêt national traités par les médias roumains, j’ai appris avec stupéfaction que, sous le commandement du Codex Alimentaire, la Roumanie aurait testée à grande échelle au niveau national, à partir de 2007 et en première mondiale, la substance active “INITIUM[7]“, un fongicide toxique utilisé pour la culture des vignes, des tomates, des pommes de terre, des oignons et d’autres fruits et légumes.
En 2010, à 3 ans distance de l’expérimentation en Roumanie de cette substance active extrêmement dangereuse, on apprend par l’intermédiaire de la télévision nationale roumaine TVR1 que : « Cette substance – INITIUM – a été testée en première mondiale en Roumanie depuis 2007, par les instituts de recherche roumains de Vidra, Brasov et Valea Calugareasca…qu’il s’agit d’une substance très dur à éliminer de l’organisme et qui pourrait, selon les conclusions des experts, favoriser l’apparition du cancer du côlon et d’autres maladies graves ou incurables….certains pays sud-américains ont refusé d’expérimenter cette substance active dans leurs cultures[8] ».
Sous le titre “La Controverse sur l’Initium – le nouveau fongicide a été approuvé en Roumanie, une première mondiale basée sur des tests toxicologiques en Allemagne”, on a pu également apprendre par l’intermédiaire de la même chaîne de télévision nationale roumaine TVR1 que : « Selon un chercheur de la Commission interministérielle de l’approbation, la législation européenne interdit la répétition des tests dans des laboratoires accrédités, afin de ne pas violer les droits des animaux cobayes. La Roumanie est le premier pays au monde à avoir accepté l’utilisation à grande échelle de cette substance. Le fongicide qu’on va utiliser pour la culture des pommes de terre, des légumes et des raisins, n’est apparaît toujours pas sur la liste des produits acceptés par l’Union Européenne[9] ».
Toutefois, l’UE semble avoir embrassé les directives du Codex Alimentaire, l’un des éléments de preuve consistant de l’adoption et l’application dans tous les états membres de l’UE de la « Directive 2004/2/CE pour les produits traditionnels de la médicine naturiste (DPTMN), directive qui a comme but ultime le refus de l’accès de la population à la grande majorité des produits basés sur la médecine naturiste, à partir du 1er avril 2011[10] »
Contrairement à sa double mission annoncée par cette organisation qui existe et agit globalement depuis plus de 50 ans, mission qui consisterait simultanément en la protection de la sécurité alimentaire et en la promotion du commerce des produits alimentaires au niveaux mondial, la Commission du Codex Alimentaire (CCA) a été créée essentiellement en vue de réglementer, et donc de contrôler, tous les aspects associés à la manière dont la nourriture et les suppléments alimentaires sont fabriqués et vendus aux consommateurs, voire à tous les individus humains sur la planète. Mais tout cela aurait du être fait par l’adoption sur une base volontaire des normes et orientations qui définissent les aliments, ainsi que des règles visant la commercialisation de celles-ci au niveau mondial.
Selon Dr. Rima Laibow, la première étape et la plus importante qui doit être franchie afin de comprendre le Codex Alimentaire et le danger qui accompagne son implémentation dans chaque état-nation, est de l’étudier très soigneusement et se rendre compte que cet outil de dépopulation planétaire, joliment présentés d’ailleurs, mais extrêmement nocif dans l’essence de son contenu, n’a absolument rien à voir avec « protection du consommateur » au niveau planétaire.
Bien au contraire, le Codex Alimentaire est une créature monstrueuse inventée par grande industrie pharmaceutique et donc par les grands gouvernements qui bâtissent en secret le Nouveau l’Ordre Mondial. La présentation de soi-disant avantages du Codex est simplement une fausse propagande qui cherche à déterminer les peuples du monde à céder facilement devant la mise en œuvre de cet instrument caché, qui vise essentiellement à réduire la population mondiale de 6 milliards à 500 millions, voire une dépopulation planétaire de 93%.
[1] Association Nationale des Spécialistes en Nutrition (National Association of Nutrition Professionals = NANP), Dr. Rima E. Laibow, Conférence de NANP 2005, http://www.youtube.com/watch?v=6rHmhM-vifk
[2] La Fondation des Solution Naturelles (National Solutions Foundation), The Voice of Global Health Freedom, All about Codex Alimentarius, http://www.healthfreedomusa.org/?page_id=155
[3] La Fondation des Solution Naturelles (National Solutions Foundation), The Voice of Global Health Freedom, All about Codex Alimentarius, http://www.healthfreedomusa.org/?page_id=155
[4] Association Nationale des Spécialistes en Nutrition (National Association of Nutrition Professionals = NANP), Dr. Rima E. Laibow, Conférence de NANP 2005, http://www.youtube.com/watch?v=6rHmhM-vifk
[5] Association Nationale des Spécialistes en Nutrition (National Association of Nutrition Professionals = NANP), Dr. Rima E. Laibow, Conférence de NANP 2005, http://www.youtube.com/watch?v=6rHmhM-vifk
[6] Dr. Rima E. Laibow, National Association of Nutrition Professionals (NANP), NANP 2005 Conference, fragment preluat integral în “Esoteric Agenda”, http://www.youtube.com/watch?v=tKivPmYD-NU (minute 0 :37:30 jusqu’au minute 0:39:10 inclusivement)
[7] Commission européenne, “Question écrite : Fongicide a base d’Initium“ – P1123/2010, http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+P-2010 1123+0+DOC+XML+V0//FR
[8] “Le premier test criminel fait par le Codex Alimentaire en Roumanie”, enregistrement sur TVR1 en 2010, disponible à l’adresse http://www.youtube.com/watch?v=1sNi8DFO1NU&NR=1
[9] „Le nouveau fongicide approuvé en Roumanie, une première mondiale basée sur des tests toxicologiques en Allemagne”, http://www.youtube.com/watch?v=Yqlh23o5vGw&feature=watch_response , TVR1 2010
[10] “Stop the Traditional Herbal Medicinal Products Directive“, European Union Committee on Petitions, Heidi Stevenson, 12 octombrie 2010, http://www.gopetition.com/petition/39757.html