Sauvegarde d’un article dont sources ci-dessous :
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Ce afin que si le site source (cedricleclercq46.blogspot.com) viennent à disparaître (fermer), cette présente sauvegarde reste intacte (images).
Les images sont celles de la “WayBack Machine”, donc resteront inchangées (présentes) ici, mais en revanche tous les liens sont modifiés “WayBack Machine” et ne sont plus tous fonctionnels.
Donc si à l’heure ou vous lisez cet article le site source (cedricleclercq46.blogspot.com) est toujours en ligne, préférez la consultation de cet article sur celui-ci afin d’obtenir les liens présents dans l’article tous valides.
Dans le cas contraire (site fermé), il vous suffit de retirer le lien complet “web.archive.org” présent devant chaque lien que vous souhaitez consulter. Dans l’exemple ci-dessous en rouge la partie à supprimer (du début, jusqu’au “h” de http) :
https://web.archive.org/web/20191231134217/http://chroniquesdurecentisme.blogspot.fr/
Ensuite, l’auteur renvoi le plus souvent possible vers les versions wikipédia pour les définitions et noms qu’il souhaite illustrer.
Wikipédia est totalement corrompu et tronque la vérité comme cela les arrangent (les contrôleurs du bétail humain)…
Si vous pensez à tort que c’est une encyclopédie libre et intègre, je vous invite à voir le documentaire suivant :
Le côté obscur de Wikipédia. VF Version intégrale :
Comment discréditer efficacement et impunément.
Wikipédia a supplanté toutes les encyclopédies, papier ou en ligne. Vous pensez que c’est un site de référence, sûr, fiable, interactif ? Regardez cette enquête fouillée, sur le mode détective, mais documentée comme un travail d’universitaire, et détrompez-vous.
[…] Il existe au sein de Wikipédia des structures totalitaires voire mafieuses, qui rendent impossible une discussion factuelle et la modification des articles dans certaines parties de l’Encyclopédie en ligne. Certains modérateurs et administrateurs problématiques sévissent en particulier dans les domaines des sciences politiques et sociales. […]
Script complet du film, avec toutes les sources :
Le film dévoile le fonctionnement souterrain de l’encyclopédie, au travers de l’analyse de la page consacrée au chercheur suisse en histoire contemporaine Daniele Ganser.
Voilà, ceci étant clarifié, voici l’article…
La Gaule (Gallia en Latin) a disparu il y a 3 siècles, la preuve par les cartes
Pour cette publication , nous allons vous démontrer que la Gaule (Gallia en latin) a disparu il y a trois siècle, et que par conséquent, l’apparition de la France est bien plus récente.
Selon la doxa officielle, la France serait apparu avec les Carolingiens, il y a 15 siècles, et la Gaule (Gallia en latin) aurait disparu à l’époque Carolingienne, il y a 13 siècles.
Nous allons vous présenter des cartes de livres scolaires et autres du 20ème siècle, qui présentent l’histoire de la Gaule et de la France. Ensuite, nous regarderons des cartes de grands cartographes du 16ème, 17ème, et 18ème siècle pour comparer.
“La Gaule (ou les Gaules), en latin Gallia, est le nom donné par les Romains à un territoire occupé par des populations Celtes (gaulois, belges) et aquitaines. Les Romains distinguaient la Gaule transalpine comprise entre les Pyrénées, les Alpes et le Rhin (soit la France, la Belgique et le Luxembourg), de la Gaule cisalpine (nord de l’Italie). La Gaule passe progressivement sous le contrôle des romains entre la fin du IIIe siècle av. J.-C. et le début du IIe siècle av. J.-C..Ceux-ci romanisent alors les populations soumises que l’on nomme par la suite gallo-romains. Le nom de « Gaule» subsiste jusqu’à l’époque carolingienne où il est remplacé par l’ethnonyme « Francia » .
Les principales traces de la civilisation de la Gaule celtisée se trouvent dans les milliers de toponymes qui perpétuent le souvenir des Gaulois. Quant à l’Aquitaine césarienne, malgré quelques influences culturelles gauloises, elle se différencie du reste de la Gaule par son assise linguistique basque-aquitaine.” [Source et suite de la définition : Wikipedia]
On peut constater que la Gaule Romaine (du 1er siècle avant J.C au 5ème siècle après J.C) est constituée de quatre régions :
Carte de la Gaule et de ses principales régions selon la dynastie Mérovingienne : la Neustrie (en saumon), l’Austrasie (en jaune), l’Aquitaine (en orange), la Burgondie (en vert) et l’Alamanie (en Gris).
On peut constater que la Gaule Mérovingienne (du 5e siècle au 8e siècle) est constituée de cinq régions :
- La Neustrie
- L’Austrasie
- L’Aquitaine
- La Burgondie
- L’Alamanie
On peut constater que la Gaule/France de l’empire Carolingien est constituée de sept régions :
- La Neustrie
- L’Austrasie
- L’Aquitaine
- La Bourgogne
- La Vasconie
- La Septimanie
- La Provence
On peut constater que la France Capétienne est constituée de dix régions :
- Le Comté de Vermandois
- Le Duché de Normandie
- Le Duché de Bretagne
- Le Comté d’Anjou
- Le Comté de Flandre
- Le Duché de Bourgogne
- Le Duché d’Aquitaine
- Le Duché de Gascogne
- Le Comté de Toulouse
- Le Marquisat de Gothie
On peut constater que le nord de la France est sous domination anglaise comme la partie sud-ouest.
On peut constater que la Gaule~France ressemble de plus en plus à la France hexagonale de nos jours.
On a pu voir les différentes évolutions de la Gaule vers la France en 2.000 ans. On peut constater qu’elle a eu différents noms et différentes régions. Voici comment les historiens du 20ème siècle nous expliquent l’expansion de la Gaule et de la France à travers l’histoire.
Maintenant dans ce chapitre, nous allons voir comment était “la Gaule~France” au 16e, 17e et 18e siècle à travers des cartes originales d’époque (pour certaines) de grands cartographes.
Nous présenterons d’abord la biographie de ces cartographes, pour ensuite vous présentez leurs cartes.
La famille Ortels ou Wortels était originaire d’Augsbourg. Le grand-père d’Abraham, Guillaume Ortels, était pharmacien. Installé à Anvers, rue Kipdorp, il jouissait d’une honnête aisance. Il eut plusieurs enfants : Hubert, qui hérita de l’officine paternelle ; Odile, qui épousa Nicolas van der Voorden, mercier à Bruxelles, et, en secondes noces, Jacques van Meteren et enfin Léonard, né en 1500, le père d’Abraham.
Léonard Ortels avait reçu une éducation soignée. Il parlait le grec et le latin ; il concourut, avec son beau-frère Jacques van Meteren, à la traduction de la célèbre bible anglaise de Miles Coverdale. En 1535, accusés de posséder des livres suspects, ils furent tous deux l’objet de poursuites. Les perquisitions ne donnèrent rien et l’affaire se termina par un non-lieu. Léonard Ortels possédait un fonds d’antiquaire et la vente d’objets rares lui permit d’élever honorablement sa famille. Il mourut jeune, en 1539, laissant à sa femme trois enfants : Abraham, Anne, qui resta la fidèle compagne de son frère, et Élisabeth, qui épousa Jacques Cools, marchand.
À la mort de son père, Abraham avait douze ans. Son oncle Jacques van Meteren partagea toute son affection entre son fils Emmanuel et son neveu Abraham ; mais, tandis qu’Emmanuel poursuivait ses études d’humanités à Tournai et à Duffel, son cousin devait abandonner celles qu’il venait d’entamer et commencer son apprentissage dans un atelier de graveur de cartes. Dès 1547, il est inscrit à la guilde de Saint-Luc en qualité d’enlumineur de cartes. Il reprit aussi l’affaire d’antiquaire de son père. Chaque année, Abraham se rendait à Francfort où se tenait la plus grande foire aux livres d’Europe. Il y achetait des cartes et des objets précieux qu’il revendait à ses clients. Travail, études, mais études complétées par le bienfaisant contact avec la vie et les voyages, telle est la jeunesse d’Ortelius.
En 1550, son oncle meurt et Abraham se trouve dès ce moment chef de famille. Il a 23 ans. François Sweertius, qui l’a connu, nous le présente :
Ortelius était d’une haute taille et avait les manières faciles et gracieuses; ses yeux étaient bleus, sa barbe blonde ainsi que sa chevelure de même teinte, que relevait la blancheur de sa peau et la beauté de son front. D’un abord agréable, il avait aussi une conversation variée et affable – signalons ici qu’Ortelius parlait et écrivait couramment le néerlandais, le français, l’allemand, l’espagnol, le latin et avait des notions de grec. Grave sans pédantisme, sa conduite se ressentait continuellement de son éducation éminemment chrétienne.
Abraham Ortelius, homme instruit et curieux, se devait d’élargir le cercle de ses connaissances et d’augmenter aussi celui de ses affaires. Parmi ses nombreuses relations, Hubert Goltzius occupe une place importante.” [Source et suite de la biographie : Wikipedia]
“Gerard De Kremer, connu dans la République des Lettres sous son nom latinisé de Gerardus Mercator, et dans les livres français sous celui de Gérard Mercator, né le 5 mars1512 à Rupelmonde et mort le 2 décembre1594 à Duisbourg, est un mathématicien et géographe des Pays-Bas espagnols (actuelle Belgique), inventeur de la projection qui porte son nom.
En 1935, l’union astronomique internationale a donné le nom de Mercator à un cratère lunaire et plus tard l’astéroïde (4798) Mercator.
À la fin du XVIe siècle, la géographie du monde est enfin exprimée dans sa forme et ses proportions véritables. Avec l’imprimerie, l’Europe devient un centre d’information et de diffusion de cartes géographiques de plus en plus fiables.
Mercator connut, lors de sa vie, des démêlés avec les autorités ecclésiastiques qui le soupçonnaient d’hérésie. Ainsi en 1533, il dut quitter Louvain pour éviter une enquête sur ses croyances personnelles. Dix ans plus tard, il fut arrêté pour hérésie à Anvers et emprisonné à Rupelmonde, mais réussit à se tirer de ce mauvais pas.
Mercator fut inhumé à Duisbourg, où il vivait depuis 1552. Ses ouvrages y sont également exposés.” [Source et suite de la biographie : Wikipedia]
Nous pouvons dire qu’à l’époque de Gérardus Mercator, la France n’est qu’un “Duché”, et la Gaule (Gallia en latin), un pays.
“Oronce Fine, ou encore Oronteus Finæus, Oronce Finé, Orontij Finaei, Oronce Fineo (20 décembre 1494, Briançon – 8 août 1555, Paris), est un mathématicien, astronome et cartographefrançais qui réalisa la première carte de France imprimée dans ce pays. Sa Protomathesis est un cours de mathématiques pures et appliquées. Il est également l’auteur présumé d’une mappemonde, présentant la Terra Australis : la carte d’Oronce Fine.
En 1935, l’Union astronomique internationale a donné le nom de l’astronome français Oronce Finé au cratère lunaireOrontius.
La famille Fine est originaire de Villar-Saint-Pancrace (village attenant à Briançon) au XIVe siècle. Il a étudié les sciences humaines et mathématiques à Paris au Collège de Navarre. Il s’est opposé au concordat que François Ier avait envoyé aux universités en 1517. Il a été emprisonné pour ceci jusqu’en 1524, mais sera nommé plus tard par le même souverain lecteur Royal des Mathémathiques (1530 ou 1531) et une chaire fut créée pour lui au Collège royal, récemment fondé, en 1530. Il a exercé principalement les mathématiques et l’astronomie et a enseigné au Collège royal à Paris, où il a enseigné jusqu’à sa mort. Il eut comme élèves de nombreux hommes illustres de son temps (comme Johannes Buteo, autrement appelé Jean Borrel).” [Source et suite de la biographie : Wikipedia]
On peut constater que :
- La carte est une description des Gaules (Galliæ)
- La France n’est qu’un duché
- La Gaule Celtique est une région
- La Gaule Cisalpine est une région
- La Gaule Belge est une région
- La Gaule Narbonaise est une région
- L’Aquitaine est une région
“Gerard de Jode (1509 – 1591) est un cartographe, graveur et éditeur actif à Anvers au XVIe siècle.
Il naît à Nimègue et meurt à Anvers. En 1547 il entre dans la guilde de Saint-Luc et commence à travailler comme éditeur et marchand d’estampes. Il publie les œuvres d’autres cartographes, notamment la carte du monde de Giacomo Gastaldi en 1555, la carte du duché de Brabant de Jacob van Deventer en 1558, la carte du monde en huit feuillets d’Abraham Ortelius en 1564, et des cartes de Bartholomeus Musinus et de Fernando Alvares Seco.
Son œuvre majeure, le Speculum Orbis Terrarum (Miroir des terres du globe) parait en 1578, huit ans après la parution du Theatrum d’Ortelius dont il ne connaît pas la popularité.
Les exemplaires de cette œuvre sont très rares aujourd’hui, contrairement aux copies publiées à grande échelle par son fils Cornelius. À la mort de celui-ci, les plaques furent rachetées par J. B. Vrients, qui possédait également les plaques d’Ortelius. Le Speculum ne fut cependant jamais réédité en tant que tel.
Un exemplaire du Speculum Orbis Terrarum se trouve à l’université Yale (Bibliothèque Beinecke de livres rares et de manuscrits).
Gérard de Jode a également illustré le recueil d’emblèmes de Laurentius Haechtanus, Μικροκόσμος. Parvus Mundus.” [Source : Wikipedia]
On peut constater que :
- La carte est une description des Gaules (Galliæ)
- La France n’est qu’un duché
- La Gaule Celtique est une région
- La Cisalpine est une région
- La Gaule Belge est une région
- La Gaule Narbonaise est une région
- La Gaule Aquitaine est une région
“Guillaume Postel est né le 25 mars1510 dans le hameau de la Dolerie sur la paroisse de Barenton (dans le diocèse d’Avranches). Il s’est éteint le 6 septembre1581, à Paris selon ses anciens biographes, mais il semblerait qu’il soit plutôt mort dans la ferme qu’il possédait à Trappes. C’est un orientaliste, un philologue et un théosophe français de confession catholique. Esprit universel et cosmopolite, Postel est le représentant français le plus caractéristique de la kabbale chrétienne.
Ses parents meurent de la peste quand il a huit ans. Très précoce, il commence à enseigner à l’âge de treize ans à Sagy afin de payer son voyage vers Paris. Mais dès son arrivée dans la capitale, un malfaiteur lui vole son argent et ses vêtements. Il tombe gravement malade, avec de la diarrhée saignante, et reste dix-huit mois dans un hôpital. Ensuite il travaille comme ouvrier agricole dans la Beauce pour pouvoir à nouveau payer ses études. Il s’inscrit au collège Sainte-Barbe, où il entre au service du professeur espagnol Jean Gelida, originaire de Valence, qui enseigne l’Organon d’Aristote selon les méthodes scolastiques les plus traditionnelles. Mais après la publication de son traité De quinque universalibus (1527), Gelida est persuadé par Lefèvre d’Étaples de l’inanité de son enseignement ; il se remet alors totalement en question et reprend ses études sous la direction du jeune Postel.
Le collège Sainte-Barbe est alors très fréquenté par des Espagnols et des Portugais ; il est d’ailleurs en partie financé par le roi de Portugal pour la formation de missionnaires envoyés en Amérique et aux Indes. Postel y apprend le latin et le grec, mais aussi l’espagnol et le portugais, et se passionne pour la géographie et les Grandes Découvertes. Ignace de Loyola, à Paris depuis février 1528, étudie à Sainte-Barbe à partir de 1529 ; c’est là qu’il rencontre Pierre Favre et François Xavier et que se constitue le groupe qui va fonder la Compagnie de Jésus en août 1534. Postel est proche de ces hommes, dont il partage les aspirations mystiques, l’exigence de réforme de l’Église et le goût pour les missions lointaines et l’étude des langues orientales.
Il a commencé très vite à étudier l’hébreu : il s’est procuré auprès de Juifs de la capitale un alphabet, une grammaire (soit celle de Johannes Reuchlin, publiée à Pforzheim en 1506, soit celle de François Tissard, publiée à Paris en 1508) et un Psautier polyglotte (soit celui de Johannes Potken, publié à Cologne en 1518, et qui donne le latin, le grec, l’hébreu et le ge’ez, soit celui d’Agostino Giustiniani, publié à Gênes à 1516, avec l’hébreu, le grec, l’arabe et des commentaires en judéo-araméen, qu’il possède en tout cas en 1533, puisqu’il commence à y apprendre l’arabe). À partir de 1530, il peut suivre les cours d’hébreu de François Vatable au collège des lecteurs royaux qui vient d’être fondé. En 1530 ou 1531, Postel lui-même reçoit la charge de mathematicorum et peregrinarum linguarum regius interpres.” [Source et suite de la biographie : Wikipedia]
On peut constater que :
- La carte est une description de la Gaule (Gallia)
- La France n’est qu’un duché
- La Gaule Celtique est une région
- La Gaule Cisalpine est une région
- La Gaule Belge est une région
- La Gaule Narbonaise est une région
- L’Italie se nomme l’Italie Gallicane
Désolé, nous n’avons pas réussi à trouver sa biographie, ni de portrait.
On peut constater que :
- La France n’est qu’un duché
- La Gaule Celtique est une région
- La Gaule Cisalpine est une région
- La Gaule Narbonaise est une région
- L’Italie se nomme l’Italie Gallicane
- La carte est une description des Gaules (Galliæ)
- Le Roi de Gaule et de Navarre se nomme Louis XIII, et sa femme, Anne d’Autriche
“Jodocus Hondius, né le 14 octobre1563 et mort le 12 février1612 (à 48 ans), aussi appelé Josse de Hond ou parfois Jodocus Hondius l’Ancien pour le distinguer de son fils, est un artiste flamand, graveur et cartographe. Il est connu pour ses cartes du Nouveau monde, et de l’Europe et pour avoir rétabli l’intérêt des travaux de Gerardus Mercator, ainsi que pour ses portraits de Francis Drake. Il a contribué à l’établissement d’Amsterdam comme centre de la cartographie en Europe au XVIIe siècle.
Hondius a grandi à Gand. Dans ses premières années, il s’établit comme graveur, concepteur d’instruments et de globes. En 1584, il se rend à Londres pour échapper aux difficultés religieuses qui ont lieu alors en Flandres.
En 1593, il se déplace à Amsterdam, où il publie en 1594 son Theatrum artis scribendi.
Entre 1605 et 1610, il est employé par John Speed pour graver les illustrations de l’ouvrage de Speed Le Théâtre de l’Empire Britannique.” [Source et suite de la biographie : Wikipedia]
On peut constater que :
- La carte est une description de la Gaule (Gallia)
- La France n’est qu’un duché
- L’Italie se nomme l’Italie Gallicane
“Guillaume Delisle ou Guillaume de L’Isle, dit « Delisle l’Ainé », né à Paris le 28 février1675 et mort dans la même ville le 25 janvier1726, est un géographe et cartographe français, élève de Cassini.
Il est le fils de Claude Delisle, entre autres lui-même cartographe, et le demi-frère des astronomes Joseph-Nicolas Delisle (1688−1768) et Louis de l’Isle de la Croyère dont les noms sont liés à la Deuxième expédition du Kamtchatka.
Delisle publie en 1700 ses premières cartes, la Carte du monde et la Carte des continents, qui contribuent à établir sa renommée.
Il introduit en cartographie le recours aux données astronomiques. Quand l’astronomie reste muette, il compulse toutes les cartes et tous les livres de voyage qu’il peut trouver. Sur les points disputés, il cite sa source sur la carte ou rédige des notes additionnelles pour l’Académie des sciences.
Il traite méthodiquement tous les continents, un par un, et la France en particulier. L’une de ses règles consiste à utiliser une échelle fixe de mesure pour des régions proches les unes des autres. Il devient en 1702 élève de l’Académie des sciences, puis adjoint surnuméraire en 1716 et astronome associé en 1718.
Il enseigne la géographie au jeune Louis XV et reçoit en 1718 le titre de géographe royal, créé à cette occasion. Il exécute, sur une commande de Pierre le Grand, une carte de la Mer Caspienne, région alors à peine connue. De nombreux noms de lieu qu’il a donnés sont encore en usage. Il est l’auteur entre autres d’une carte de la mer de l’Ouest, où apparaît pour la première fois le toponymeBaie d’Hudson. Sa Carte de la Louisiane et du cours du Mississippi (1718) est la première carte détaillée de cette région.
Un procès pour plagiat long de six ans oppose Delisle à Jean-Baptiste Nolin, cartographe. C’est Nolin, le plagiaire véritable, qui perd ; on peut y voir la preuve que la cartographie était devenue une science nettement plus rigoureuse.
Delisle est resté célèbre pour ses rectifications basées sur l’astronomie, l’exhaustivité de sa topographie et le soin qu’il a accordé à l’orthographe.” [Source et suite de la biographie : Wikipedia]
On peut constater que :
- La carte est une description de la Gaule (Gallia), qui est encore représentée au 18e siècle
- Le Portugal se nomme “Portugallia” : la “Porte de Gaule”
Europe, carte en français de Guillaume Delisle, la Gaule se nomme la France, 1710.
- La Gaule Celtique
- La Gaule Belge
- La Gaule Cisalpine
- La Gaule Narbonaise
- La Gaule Aquitaine
Toute cette démonstration rejoins la “Nouvelle Chronologie” d’Anatoly Fomenko et de Gleb Nosovsky sur les 1.000 ans de trop de l’histoire dite “officielle”.
EPISODE 9 – RENDEZ-VOUS AVEC ROCH – Le réveil des Gaulois :
Episode passionnant comme tous les douze (à ce jour), mais si vous voulez allez directement au passage sur les cartes de Gaule et de “France”, allez directement à 1 heure et 36 minutes.
“Nova totius Galliae descriptio” signifie nouvelle description de toute la Gaule / de la Gaule entière : totius est un génitif comme Galliae. Ce n’est donc pas une “toute nouvelle description de la Gaule” mais “nouvelle description de toute la Gaule”