Sauvegarde d’un article en trois parties dont sources ci-dessous :
Source première partie :
Source originale partie 1 : https://cedricleclercq46.blogspot.com/2015/08/demystification-des-pyramides-degypte.html
Lien alternatif wayBack Machine partie 1: https://web.archive.org/web/20200129212241/http://cedricleclercq46.blogspot.com/2015/08/demystification-des-pyramides-degypte.html
Source troisième partie :
Source originale partie 3 : https://cedricleclercq46.blogspot.com/2017/09/debunkage-les-pyramides-degypte-nont.html
Source de secours WayBack Machine Internet Archive partie 3 : https://web.archive.org/web/20191031200703/https://cedricleclercq46.blogspot.com/2017/09/debunkage-les-pyramides-degypte-nont.html
Cette sauvegarde à été faite à partir du site de secours “WayBack Machine”.
Ce afin que si le site source viennent à disparaître (fermer), cette présente sauvegarde reste intacte (images).
Les images sont celles de la “WayBack Machine”, donc resteront inchangées (présentes) ici, mais en revanche tous les liens sont modifiés “WayBack Machine” et ne sont plus tous fonctionnels.
Donc si à l’heure ou vous lisez cet article le site source (cedricleclercq46.blogspot.com) est toujours en ligne, préférez la consultation de cet article sur celui-ci afin d’obtenir les liens présents dans l’article tous valides.
Dans le cas contraire (site fermé), il vous suffit de retirer le lien complet “web.archive.org” présent devant chaque lien que vous souhaitez consulter. Dans l’exemple ci-dessous en rouge la partie à supprimer (du début, jusqu’au “h” de http) :
https://web.archive.org/web/20191231134217/http://chroniquesdurecentisme.blogspot.fr/
Par ailleurs, les images manquantes dans la partie 2 le sont tout autant, malheureusement sur le site source, que sur toutes les sauvegardes présentes sur la “WayBack Machine”. Cette partie (2) hébergeait nombreuses images sur un serveur qui est désormais fermé, et la “WayBack Machine” n’a pas sauvegardé cette page avant…
Cela ne gène pas la compréhension de l’ensemble.
Ensuite, l’auteur renvoi le plus souvent possible vers les versions wikipédia pour les définitions et noms qu’il souhaite illustrer.
Wikipédia est totalement corrompu et tronque la vérité comme cela les arrangent (les contrôleurs du bétail humain)…
Si vous pensez à tort que c’est une encyclopédie libre et intègre, je vous invite à voir le documentaire suivant :
Le côté obscur de Wikipédia. VF Version intégrale :
Comment discréditer efficacement et impunément.
Wikipédia a supplanté toutes les encyclopédies, papier ou en ligne. Vous pensez que c’est un site de référence, sûr, fiable, interactif ? Regardez cette enquête fouillée, sur le mode détective, mais documentée comme un travail d’universitaire, et détrompez-vous.
[…] Il existe au sein de Wikipédia des structures totalitaires voire mafieuses, qui rendent impossible une discussion factuelle et la modification des articles dans certaines parties de l’Encyclopédie en ligne. Certains modérateurs et administrateurs problématiques sévissent en particulier dans les domaines des sciences politiques et sociales. […]
Script complet du film, avec toutes les sources :
Le film dévoile le fonctionnement souterrain de l’encyclopédie, au travers de l’analyse de la page consacrée au chercheur suisse en histoire contemporaine Daniele Ganser.
DÉMYSTIFICATION des PYRAMIDES d’ÉGYPTE : Elles n’ont pas plus de 220 ans!! [partie 1]
Pourquoi la version officielle de la construction du plateau de Gizeh ne tient pas la route?
1 – Les pierres proviendraient d’une carrière située à plusieurs kilomètres du plateau acheminées sur des rondins de bois et seraient taillée à même la roche. Hors aucune des pierres des pyramides n’a les strates des couches sédimentaires qui forment la pierre naturelle et de plus, il n’y a pas de forêts en Égypte. Les pierres sont réagglomérées, c’est ce qu’on appelle vulgairement du béton.
2 – On retrouve le “Système Métrique” dans les pyramides avec notamment le pyramidion “d’Un Mètre de Côté”, hors le “Mètre” a été calculé à la fin du 18ème siècle par le Français Gaspard Monge.
3 – Le Plateau de Gizeh aurait environ 4.600 ans, hors, et très peu de géologue le dise (merci Professeur Igor Davydenko), la pierre, qu’elle soit naturelle ou synthétique dans une construction, a une durée de vie d’au mieux 8 siècles (en voyant très large). Si les pyramides avaient 4.600 ans, il ne resterait que les fondations enfouis à plusieurs mètres de profondeur sous le sable du désert.
4 – Il aurait fallut environ 1 million d’hommes pour bâtir le plateau de Gizeh. À la fin du 18ème siècle nous étions moins d’un milliard (officiellement). Il y a 16 siècles, nous étions ~200 millions (officiellement). Combien étions-nous il y a 4.600 ans? Toute la population mondiale se trouvait en Égypte à cette époque…
Extrait du documentaire vidéo “La Reconstruction de l’Histoire”, où Fomenko et Nosovsky affirment que les Pyramides d’Égypte ne peuvent avoir plus de 700 ans (cliquez sur l’image pour consulter la vidéo et avancez jusqu’à 11 minutes)
Du coté anglais, ce sera l’ingénieur Scott Creighton qui dénoncera l’imposture de l’ancienneté des Pyramides de Gizeh.
Cette publication aura pour but de vous présenter, les protagonistes, l’époque et le procédé de fabrication des pyramides d’Égypte. Cela vous permettra d’avoir les grandes lignes générales de l’histoire du plateau de Gizeh et des autres œuvres architecturales égyptiennes. Par la suite, nous publierons d’autres articles qui compléteront la démystification avec d’autres arguments.
En parallèle à ses travaux de recherche, il enseigne une grande partie de sa vie et a comme élèves beaucoup des futurs grands mathématiciens français du XIXe siècle.
Il joue un grand rôle dans la Révolution française, tant du point de vue politique que du point de vue de l’instauration d’un nouveau système éducatif : il participe à la création de l’École normale de l’an III et de l’École polytechnique (en 1794), deux écoles où il enseigne la géométrie. Il concourt également avec Berthollet, Chaptal et Laplace à la création de l’École d’arts et métiers.
Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d’Italie (1796–1797), et chargé de mission dans l’expédition d’Égypte (1798–1799).” [Source : Wikipedia]
Louis Visconti était issu d’une célèbre famille d’archéologues : son grand-père Giambattista Antonio Visconti (1722–1784) avait fondé le Musée du Vatican et son père, Ennius Quirinus Visconti (1751–1818), en fut le conservateur. Sa famille s’installa à Paris en 1798 et il obtint la nationalité française en 1799, son père étant nommé conservateur des Antiquités et des Tableaux au Musée du Louvre.” [Source : Wikipedia]
Directeur des Ponts et Chaussées en Égypte, il est chargé par Bonaparte de rédiger un mémoire sur les vestiges de l’ancien canal du pharaon Nékao II (XXVIe dynastie), amélioré par Ptolémée II, entre le Nil et le golfe de Suez.
Le 24 décembre 1798 Bonaparte organise un voyage vers l’isthme de Suez avec Monge et Berthollet, ainsi que Le Père, le géomètre Costaz, le chimiste Descotils et le dessinateur Dutertre.
Avec son frère Gratien et les ingénieurs qui travaillent avec lui, il procède à trois campagnes de nivellement dans l’isthme, ceci dans des conditions difficiles dues au manque d’eau et aux attaques de bédouins. Dans la précipitation, il conclut à une différence de niveau de neuf mètres entre la Méditerranée et la mer Rouge, erreur qui persistera jusqu’aux mesures de Paul-Adrien Bourdaloue en 1847.Membre de l’Institut d’Égypte le 22 août 1798, dans la section de mathématiques.
De retour en France, il fut longtemps inspecteur divisionnaire des ponts et chaussées à Paris, puis inspecteur de Paris de 1822 à 1830.” [Source : Wikipedia]
Claude-Louis Berthollet naît à Talloires près d’Annecy dans le duché de Savoie qui fait à l’époque partie du royaume de Sardaigne. Il est issu d’une famille bourgeoise de Savoie, son père est notaire, profession qu’exerçaient déjà ses propres père et grand-père. Claude-Louis est le sixième de neuf enfants dont seul lui et sa sœur cadette atteindront l’âge adulte. Il fait des études secondaires au Collège Chappuisien d’Annecy, puis des études de médecine durant quatre années à l’université de Turin, avec une bourse royale, où il est reçu docteur en 1768.” [Source : Wikipedia]
[…]
Louis Costaz nait le 17 mars 1767 d’un marchand prénommé Claude et de sa femme Claudine Gojon. Après des études de mathématiques à Valence puis Paris, Costaz enseigne cette matière à l’école militaire de Thiron jusqu’en 1793, puis à partir de 1795 à l’École Polytechnique. Il est par ailleurs l’un des organisateurs du Conservatoire national des arts et métiers.
Membre de la Commission des sciences et des arts, il participe à l’Expédition d’Égypte en tant que géomètre. Il devient secrétaire adjoint de l’Institut d’Égypte et membre du Conseil Privé d’Égypte après avoir fait partie de la commission chargée d’écrire le règlement de cet institut. Le 24 décembre 1798, il accompagne Bonaparte qui organise un voyage vers l’isthme de Suez, avec Gaspard Monge et Claude Louis Berthollet, ainsi que Le Père, le chimiste Descotils et le dessinateur Dutertre. Au cours de son séjour en Égypte, il présente plusieurs rapport à l’Institut et joue un rôle moteur dans l’élaboration des prémices de la Description de l’Égypte dont il écrira certains rapports.” [Source : Wikipedia]
“Hippolyte-Victor Collet-Descotils, dit Descotils, né à Caen le et mort à Paris le , est un chimiste et minéralogiste français.
Élève des Mines en 1794, Victor Collet-Descotils a été l’élève et l’ami de Vauquelin. Il a travaillé sur les sels de platine décomposables en iridium et rhodium ou palladium.
Ingénieur en 1798, il est élu parmi les premiers membres de l’Institut d’Égypte, dans la section de physique et part pour l’Expédition d’Égypte. Le 24 décembre 1798 Bonaparte organise un voyage vers l’isthme de Suez avec Monge et Berthollet, ainsi que Le Père, le géomètre Costaz, le chimiste Descotils et le dessinateur Dutertre.
Le 19 mars 1799, il quitte le Caire pour la Haute-Égypte, sous la conduite de Pierre-Simon Girard, accompagné de François Michel de Rozière, Victor Dupuis, ingénieurs des mines, Jean-Baptiste Jollois, Édouard de Villiers du Terrage, Jean-Marie Dubois-Aymé, ingénieurs des Ponts et Chaussées, Jean-Jacques Castex, sculpteur, pour prendre des renseignements sur le commerce, l’agriculture, l’histoire naturelle, les arts et les antiquités, et surtout pour examiner le régime du Nil, depuis la première cataracte, et étudier le système d’irrigation.
Il sera de retour au Caire le 16 septembre, avec Rozière, Dupuis et Louis Duchanoy. Le 13 octobre 1799, il remplace Champy comme administrateur des propriétés mises à la disposition de l’Institut, et reste en fonction jusqu’à la fin de l’Expédition. Le 15 décembre 1799 il se rend en excursion à Gizeh et Chéops. Il se rend de nouveau à Gizeh le 1er septembre 1800. Avec Costaz, ils sortent très discrètement du Caire le 15 janvier 1801, à la nuit tombée, et quittent l’Égypte le 4 février 1801.
De retour en France, il est professeur de chimie au corps royal des Mines, et en 1801 Conservateur des produits chimiques et directeur du l’École des mines. Sociétaire de la Société d’Arcueil en 1807. Il est ingénieur en chef des Mines 1809. En 1813, il est chargé d’aller inspecter les mines d’alun de la Tolfa et devient directeur provisoire de l’École des mines en 1815. Il est l’auteur, avec Jollois, d’un mémoire de 26 pages sur la Description d’Esné et de ses environs.
À sa mort, il fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise (10e division).” [Source : Wikipedia]
Professeur à l’école gratuite de dessin, il avait été l’élève de Vien et de Collet.
Il fait partie de l’expédition d’Égypte et est nommé membre de l’Institut d’Égypte, le 22 août 1798, dans la section littérature et arts. Le 24 décembre 1798, Bonaparte organise un voyage vers l’isthme de Suez avec Monge et Berthollet, ainsi que Le Père, le géomètre Costaz, le chimiste Descotils et le dessinateur Dutertre. Il dessine les 184 portraits de savants et d’officiers de l’expédition, qui illustrent l’Histoire scientifique et militaire de Reybaud, et qui sont repris dans le Journal de Villiers du Terrage. Il s’intéresse aussi aux Égyptiens. Son portrait de Mourad Bey est un chef-d’œuvre. Toute la puissance du chef mamelouk s’exprime dans un turban et une barbe broussailleuse.” [Source : Wikipedia]
[…]
Le retrait français avait laissé la province ottomane sans dirigeant. Le pouvoir des mamelouks bien qu’affaibli n’avait pas été anéanti, et les forces ottomanes étaient en conflit avec eux dans la course au pouvoir. Au cours de cette période d’anarchie, Méhémet-Ali utilisa ses troupes albanaises sur deux fronts, le premier afin de conquérir le pouvoir et le second pour son prestige personnel. En 1805, le peuple lassé par d’incessantes guerres et luttes intestines protesta sa colère, dirigé par les oulémas, un groupe de notables égyptiens demanda à ce que le Wāli (gouverneur), Ahmad Kurshid Pacha démissionne et laisse le pouvoir à Méhémet-Ali.
Le sultan ottoman Selim III n’étant pas en mesure de s’opposer à l’ascension de Méhémet-Ali, consolida la position de ce dernier. Pendant les combats entre les mamelouks et les Ottomans entre 1801 et 1805, Méhémet-Ali veilla à ne jamais perdre le soutien populaire qui l’avait mené là. En se positionnant comme le protecteur du peuple, Méhémet-Ali réussit à contenir l’opposition populaire jusqu’à l’affermissement de son pouvoir.
Malgré leurs défaites, les mamelouks, qui avaient contrôlé l’Égypte durant plus de 600 ans, menaçaient le pouvoir de Méhémet-Ali et planifiaient à terme son assassinat. C’est alors qu’en 1811, il invite les dirigeants mamelouks à un festin à la citadelle du Caire en l’honneur de son fils Toussoun (père d’Abbas Ier Hilmi), qui devait être nommé dans une expédition en Arabie. Lors du repas les mamelouks sont emprisonnés et assassinés, laissant à Méhémet-Ali le gouvernement de l’Égypte.
Par la suite Méhémet-Ali transforma l’Égypte en une puissance régionale qu’il voyait comme le successeur naturel de l’Empire ottoman. Ce dernier en décomposition à cause du pouvoir pris par les janissaires freinant toute idée de réforme et dictant parfois les ordres au sultan allant jusqu’à l’assassinat des dirigeants qui ne se soumettaient pas à leur volonté (4 sultans sont tués par les janissaires en moins de deux siècles). Méhémet-Ali résuma sa vision de l’Égypte comme suit :
« Je suis bien conscient que l’Empire ottoman va chaque jour vers sa destruction […] Sur ses ruines, je vais fonder un vaste royaume […] jusqu’à l’Euphrate et le Tigre. »“
Selon la doxa des égyptologues, les blocs de pierre formant les pyramides seraient de la pierre taillée provenant d’une carrière à plusieurs kilomètres du plateau et auraient été taillées de façon que les pierres s’accordent parfaitement entre elle, les fameuses jointures parfaites. C’est FAUX!! Les blocs de pierre sont tout simplement des blocs de béton coulés entre des planches de bois (le coffrage), c’est ce qu’on appelle du “Béton géopolymère“, c’est-à-dire un béton fabriqué à partir de “calcaire réagloméré”.
Ce sera dans les années 2000, que Joseph Davidovits, le géologue français, le démontra en utilisant les mêmes ingrédients géologiques que sur le plateau de Gizeh : sable, soude (natron), calcaire et eau.
Quant au Sphinx de Gizeh, on ne coulera que la tête (le corps sera creusé quelques décennies plus tard) et sera une première expérience d’un visage coulé par tranche en béton géopolymère. On s’inspirera en particulier du visage de Gaspard Monge, principale inventeur du “Système Métrique”, pour dessiner le visage du Sphinx.
“Jean François de Galaup, comte de La Pérouse ( – disparu en 1788), né au château du Gô, dans la paroisse de Saint-Julien à deux lieues d’Albi, est un officier de marine et un explorateur français.” [Source : Wikipedia]
“Horatio Nelson, 1er vicomte Nelson, duc de Bronte, né le à Burnham Thorpe et mort le au large du cap de Trafalgar, est un vice-amiral britannique. Il s’est illustré pendant les guerres de la Révolution française et napoléoniennes notamment à la bataille de Trafalgar, où il remporte une victoire décisive pour la Grande-Bretagne, qui inaugure la suprématie de la Royal Navy, mais y perd la vie. Il est couramment appelé l’amiral Nelson par les Français et Lord Nelson par les Anglo-Saxons.” [Source : Wikipedia]
Et c’est le 31 août 1801, que le successeur de Jean-Baptiste Kléber, le général Jacques de Menou, capitule devant les forces turco-britanniques après avoir perdu 13 500 hommes, principalement victimes des épidémies au cours des négociations de paix. Les soldats français restants seront rapatriés sur les vaisseaux britanniques vers la France. Fin du contrôle de l’isthme de Suez. Les français rentreront avec un système de mesure (le “Mètre”), une nouvelle civilisation antique en “béton géopolymère” et son style architectural : “le style égyptien“.
Ce sera le macédonien Mehemet Ali, à la demande des Français et validé par les Britanniques, qui prendra la tête du pouvoir en Égypte.
Les Grognards Napoléoniens ayant participé aux constructions du Génie Civile Français en Égypte ont laissé des témoignages de leur participation, voici un de ces extraits ci-dessous.
- Établir le Méridien de Gizeh qui était en compétition pour le Méridien de Référence au 19e siècle (C’est celui de Greenwich qui l’emporta)
- Établir le Système Métrique
- Creuser l’Isthme de Suez pour avoir une voie maritime direct entre la Mer Méditerranée et la Mer Rouge, ce qui permettait aux français de faire concurrence aux britanniques
- Tester et développer de nouvelles techniques de maçonnerie avec le Béton Géopolymère, l’Égypte ayant de grande source de Natron : les lacs amers d’Égypte
- Établir un nouveau style architectural : l’architecture Égyptienne
- Servira de preuve archéologique en 1905, en France, pour établir l’Histoire qui sera enseignée dans la nouvelle “École Républicaine Laïque” : l’école franc-maçonne
La “Franc-Maçonnerie Française ~ Académie des Sciences” se feront plaisir en coulant avec d’autres formule de béton géopolymère à base de différents carbonates, oxydes et sulfates, c’est pour cela que vous pouvez trouver des blocs de granite réaggloméré, voir de la diorite. Faire de la pierre synthétique, voilà le secret des bâtisseurs de pyramides, ce qu’on appelle la franc-maçonnerie. Faire de la pierre réagglomérée, c’est la spécialité de la science du 19ème siècle, en sachant que les procédés utilisés de cette époque, sont des plus simples. De nos jours, vous verriez le nombre de pierre synthétique que nous sommes capable de reproduire.
“Barthélemy Prosper Enfantin, dit aussi Père Enfantin, est né à Paris le et mort à Paris le . Il est l’un des principaux chefs de file du mouvement saint-simonien, mais est aussi un écrivain et un entrepreneur. Il est l’un des premiers à imaginer la construction du canal de Suez et favorise le développement du chemin de fer en France. Il est également directeur d’un organe de presse.” [Source : Wikipedia]
“Louis Maurice Adolphe Linant de Bellefonds, aussi connu sous le nom de Linant Pacha (Lorient, – Le Caire, ) est un explorateur de l’Égypte et un ingénieur en chef des travaux publics du pays de 1831 à 1869, quand il s’occupa de la construction du canal de Suez. Il illustre l’intérêt nouveau des Européens pour l’Orient en général et l’Égypte en particulier. Ses dessins de l’Égypte et du Soudan sont très célèbres en Europe au XIXe siècle. Moins connu que Ferdinand de Lesseps, il joue cependant un rôle fondamental dans la construction du canal de Suez. C’est un des Français les plus célèbres d’Égypte.” [Source : Wikipedia]
“Saïd Pacha (1822 – 1863) (arabe : محمد سعيد باشا, DIN : Muḥammad Saʿīd Bāšā) est le gouverneur (al-wālī) d’Égypte et du Soudan de 1854 à 1863. Il est le quatrième fils de Méhémet Ali.” [Source : Wikipedia]
- Redéfinir plus précisément le Système Métrique (une correction d’un dixième de millimètre)
- Creuser le Canal de Suez pour avoir une voie maritime direct entre la Mer Méditerranée et la Mer Rouge
- Créer le “Premier Parc d’Attraction” du monde pour “Grand Bourgeois” voulant voyager : les débuts du “Tourisme“
- Servira de preuve archéologique en 1905, en France, pour établir l’Histoire qui sera enseignée dans la nouvelle “École Républicaine Laïque” : l’école franc-maçonne
Ferdinand de Lesseps, avec son projet de canal de Suez et des 3 Grandes Pyramides de Gizeh se verra sollicité par Napoléon III pour qu’il y soit bâti un phare sur le bord du canal représentant une femme portant la lumière (de la symbolique maçonnique).
Le projet du phare sera confié à Auguste Bartholdi dont Ferdinand de Lesseps refusera la construction, faisant de l’ombre à ses 3 grandes pyramides.
Auguste Bartholdi donnera plusieurs nom à son projet :
- le Phare de Suez
- l’Égypte éclairant l’Orient
- l’Égypte apportant la Lumière (ou le Progrès) à l’Asie (la lumière symbolise, signifie le progrès humain).
Par la suite, les travaux d’Auguste Bartholdi seront récupérés pour faire la Statue de la Liberté (dont le titre exact est “La Liberté éclairant le monde”) se trouvant à New-York.
Voici un extrait intéressant d’un article paru dans le Journal “L’EXPRESS” paru le 29 mai 2003 sur l’arrivée de la Francs-Maçonnerie dans les Pays Musulmans, surtout sur son arrivée en Égypte, on y évoque Napoléon Bonaparte, Ferdinand De Lesseps et le petit-fils de Mehemet Ali, Ismaïl Pacha.
“Qu’en est-il du reste du monde arabe?
Il faut mettre l’Égypte à part, car, dans ce pays, on voit apparaître des maçons et des germes de maçonnerie universels dès l’expédition de Bonaparte. Mais le développement se fera par étapes. La première phase sera, bien entendu, incarnée par les saint-simoniens, qui vont arriver, chez Ibrahim Pacha, pour enseigner le français aux officiers égyptiens, dans les casernes. Parmi ces saint-simoniens, Ismaïl Urbain, qui sera aussi tenté par la maçonnerie, mais qui ne fera pas, d’après ce qu’on sait, acte d’initiation. Le second départ, ce sera l’initiation d’Ismaïl Pacha, fils d’Ibrahim Pacha, khédive d’Égypte. Il va être initié par les Français, notamment par le groupe de Ferdinand de Lesseps qui compte surtout des maçons constructeurs.”
Le lien de l’article : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-francs-macons-en-terres-d-islam_496022.html
Ce sera en 1837 que l’Égyptologue Anglais Richard William Howard Vyse publiera un livre, “Operations carried on at the pyramids of Gizeh in 1837“, où il décriera le Plateau de Gizeh et ses Pyramides. On pourra constater avec la gravure ci-dessous tiré de ce livre, que le Plateau de Gizeh, encore en 1837, ne correspond pas à ce que l’on peut voir de nos jours.
Page 183, Les 3 Petites Pyramides Napoléoniennes sont bien là mais où est Mykérinos et pourquoi les 2 pyramides du fond sont mal disposées par rapport au plateau de Gizeh de nos jours?
“Les Expositions internationales ont été créées pour présenter les réalisations industrielles des différentes nations. Elles représentaient la vitrine technologique et industrielle des participants, témoignant du progrès au cours de la révolution industrielle. La première Exposition universelle s’est déroulée à Londres en 1851.
À l’origine, chaque pays disposait d’un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s’il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l’architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les Expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d’obtenir des médailles bénéficiant d’un certain prestige.” [Source : Wikipedia]
Ce sera par exemple, lors de l’Exposition Universelle de 1876, qu’à Philadelphie était censé être construis une tour d’une hauteur de 1000 pieds (~300 mètres), qui, à ce moment-là aurait été la plus haute structure dans le monde à l’exposition. La photo ci dessus montre la hauteur relative de la tour de Philadelphie comparée à d’autres œuvres venant d’autres expositions qui existaient à l’époque : ON Y CONSTATE LES 2 GRANDES PYRAMIDES DE GIZEH : KHÉOPS ET KHEPHREN (bâties de 1859 à 1869).
Le politicien et historien Sénégalais Cheikh Anta Diop, formé en France et initié à la Franc-Maçonnerie par l’académicien Frédéric Joliot-Curie, nous présentera une nouvelle théorie sortie encore des loges avec l’invention de l’Égypte Antique Noire Africaine.
Grâce à sa nouvelle théorie, Cheikh Anta Diop fera beaucoup de fidèles auprès des sénégalais : l’Ascension Politique grâce à la Falsification Historique.
Jacques Grimault, scientifique et mathématicien français et son collègue, Patrice Pooyard, ont fait un travail mathématique et astronomique énorme avec leur documentaire “La Révélation Des Pyramides”!
Mettons de côté l’âge estimé du plateau de Gizeh par Jacques Grimault dans son documentaire, et regardons plutôt tous les rapports mathématiques constatés par celui-ci que l’on retrouve sur le plateau de Gizeh et dans les mesures les dimensions des pyramides. On peut constater que ce sont “tout simplement” les rapports et calculs utilisés par les scientifiques et maçons français aux 18~19e siècles.
Un grand merci à Jacques Grimault et Patrice Pooyard, qui ont retrouvé grâce à leurs travaux, tous les rapports et calculs qui ont permis de déterminé le “Mètre” (Système Métrique) et le “Méridien de Gizeh” à la fin du 18e siècle, début du 19e par les Scientifiques et Maçons Français de l’Institut d’Égypte et de l’Académie des Sciences (la Franc-Maçonnerie).
Quant aux autres œuvres architecturales que l’on retrouve dans le documentaire (Île de Pâques, Nazca, etc…), ce fut construis… après les pyramides.
Dans la vidéo ci-dessus, nous pourrons assister à une interview de Gleb Nosovsky qui s’exprimera sur la tentative de faire disparaître Napoléon du cours normal de l’Histoire. Avec l’exposé fait dans cet article, nous pouvons comprendre que de faire disparaître Napoléon de l’Histoire, c’est faire disparaître la Campagne d’Égypte et donc les architectes du plateau de Gizeh.
Après cette démonstration, nous pouvons dire que :
- Les Pyramides d’Égypte ne sont pas antiques mais datent de fin du 18ème, courant du 19ème siècle
- Les Petites Pyramides de Gizeh, la tête du Sphinx et les Pyramides de Méroé furent coulées au béton (pierre réagglomérée) lors de l’expédition d’Égypte par l’armée napoléonienne et les scientifiques de l’académie des Sciences (la future Institut d’Égypte et la Franc-Maçonnerie Française)
- La Vallée des Rois sera taillée grâce à de l’acide chlorhydrique par cette même expédition
- La construction de ces monuments n’a pas excédé 3 ans
- Les Petites Pyramides permirent de déterminer le “Système Métrique” et le “Méridien de Greenwich”
- Le Musée du Louvre a servit de présentoir à la “fausse” civilisation égyptienne antique
- Les 3 Grandes Pyramides de Gizeh furent coulées en béton lors de la construction du Canal de Suez avec comme instigateur Ferdinand De Lesseps
- Le corps du Sphinx fut taillé directement dans la pierre lors de la construction du Canal de Suez
- La construction de ces monuments n’a pas excédé 11 ans
- Servira de preuve archéologique en 1905, en France, pour établir l’Histoire qui sera enseignée dans la nouvelle “École Républicaine Laïque” : l’école franc-maçonne
Source originale : https://cedricleclercq46.blogspot.com/2015/08/demystification-des-pyramides-degypte.html
Lien alternatif wayBack Machine : https://web.archive.org/web/20200129212241/http://cedricleclercq46.blogspot.com/2015/08/demystification-des-pyramides-degypte.html
DÉMYSTIFICATION des PYRAMIDES d’ÉGYPTE : Elles n’ont pas plus de 220 ans!! [partie 2]
Les pyramides d’Égypte, que de mystères qui entourent ces constructions cyclopéennes! Les égyptologues et les scientifiques sont mitigés sur l’époque de leur construction : de 4.000 ans, à 10.000 ans, jusqu’à 13.000 ans! De même que de la technique de construction, les avis divergent. Quant aux architectes des pyramides, il y aurait différents auteurs : des égyptiens, des homme reptiliens, en passant par des extra-terrestre pour finir par des géants atlantes. C’est à celui qui produira la théorie la plus extravagante qui soit! Mais qu’en est-il exactement?
Et c’est en 2012, que leur collègue scientifique russe, Igor Davidenko, scientifique et géologue (ayant participé à la “Nouvelle Chronologie”), publia une vidéo, “La Grande Déception de l‘Égypte Antique, “, qui démontra que les pyramides d’Égypte ne pouvaient avoir plus de 220 ans et avaient été bâties lors de la Campagne d’Égypte Napoléonienne!
C’est à travers ce blog et de ses différentes publications, que nous allons vous expliquer qui, comment et pourquoi les pyramides d’Égypte ont été construites et mettre fin à toutes les spéculations qui tournent autour.
De même, Roch Sauquere de TOP SECRET MAGAZINE, nous révèlera lors de sa vidéo “EPISODE 6. RENDEZ-VOUS AVEC ROCH. Vers la révolte des moutons” du 19 novembre 2017, que les Pyramides de Gizeh ont été bâties entre le 18ème et le 19ème siècles.
Du coté anglais, ce sera l’ingénieur Scott Creighton qui dénoncera l’imposture de l’ancienneté des Pyramides de Gizeh.
Notre travail sera de vous mettre en texte et en image, à travers ce blog et en s’appuyant sur ces vidéos, la démonstration que le plateau de Gizeh et les autres œuvres architecturales sont une œuvre “FRANCO-ÉGYPTIENNE” du 19e siècle, nous y exploiterons les aspects scientifiques, historiques, géologiques, minéralogiques, politiques et géopolitiques.
Pour cette deuxième publication, nous allons vous parler du Natron et de son lien avec le Mystère des Calcaires, Granites et Diorites Réagglomérés qui permirent de bâtir les pyramides, sous l’aspect chimique, minéralogique et géologique, et du lien avec le Mystère des Momies, ce qui permit aux Premiers Égyptologues de l’Académie Française des Sciences d’avoir de la “Matière” pour justifier d’une Civilisation Antique Égyptienne. Nous vous parlerons aussi des connaissances que l’on avait au 18e siècle sur la Pierre Réagglomérée et des différentes pyramides bâties à travers le monde au 19ème et 20ème siècles.
En vous souhaitant une bonne lecture et vraie découverte du “Secret des Fameuses Pyramides d’Égypte“.
– NAPOLÉON, l’Institut d’Égypte (Académie Française) et l’Armée Française creuseront l’Isthme de Suez, bâtiront les 3 Petites Pyramides, la Tête du Sphinx, les Pyramides de Méroé et la Vallée des Rois de 1798 à 1801– FERDINAND DE LESSEPS et le Génie Civil Français creuseront le Canal de Suez, bâtiront les 3 Grandes Pyramides et le Corps du Sphinx de 1859 à 1869
– Le Mythe de la Famille Impériale Égyptienne d’Akhenaton
Comme on vous l’a expliqué dans la première publication, les blocs de pierre des pyramides d’Égypte sont en faite du béton polymère coulé : du calcaire réaggloméré. Pour faire ce composé géologique, il faut du silicate (du sable tout simplement), du carbonate (du calcaire), une base alcaline (le natron) et de l’eau (le Nil).
“Le silicate est un sel dérivant de la silice (SiO2). En chimie, ce sont des composés chimiques. En minéralogie, les silicates désignent une importante famille de minéraux. Les silicates constituent 97 % de la croûte terrestre.
Les silicates sont des minéraux dont le squelette est essentiellement formé par des tétraèdres de silicium et d’oxygène (SiO4) additionnés d’aluminium, magnésium, fer, calcium, potassium, sodium et autres éléments.
Structure d’un simple silicate (SiO2) à gauche, et à droite, un ion disilicate (Si2O7)6-
Les silicates sont divisés en plusieurs familles, voici les plus connus :
- Le mica est le nom d’une famille de minéraux, du groupe des silicates sous-groupe des phyllosilicates formé principalement de silicate d’aluminium et de potassium. Avec le quartz et le feldspath, il est l’un des constituants du granite.
- Le quartz est une espèce minérale du groupe des silicates, sous-groupe des tectosilicates, composé de dioxyde de silicium de formule SiO2 (silice), avec des traces de différents éléments tels que Al, Li, B, Fe, Mg, Ca, Ti, Rb, Na, OH. Il se présente soit sous la forme de grands cristaux incolores, colorés ou fumés, soit sous la forme de cristaux microscopiques d’aspect translucide. Constituant 12 % (en masse) de la lithosphère, le quartz est le minéral le plus commun (l’oxygène et le silicium sont respectivement les premier et deuxième constituants, par ordre d’importance, de la lithosphère) ; c’est un composant important du granite, dont il remplit les espaces résiduels, et des roches métamorphiques granitiques (gneiss, quartzite) et sédimentaires (sable, grès).
- Le feldspath est un minéral à base de silicate double, d’aluminium, de potassium, de sodium ou de calcium. Les feldspaths sont de la famille des tectosilicates. Il existe de nombreux feldspaths, dont les principaux sont l’orthoclase (potassique), l’albite (sodique) et l’anorthite (calcique). On distingue les feldspaths alcalins, souvent translucides, blanchâtres ou roses et riches en alcalins (Na+, K+), des plagioclases qui diffèrent des précédents par la présence de calcium (Ca2+) et l’absence de potassium (K+). Les plagioclases sont en fait une série continue de minéraux, une solution solide, dont les pôles purs sont l’albite et l’anorthite. Les feldspaths forment le groupe de minéraux le plus important volumétriquement de la croûte terrestre. Ils forment le plus souvent des cristaux bien développés, automorphes, présentant souvent des macles. Sur le terrain, leur détermination utilise souvent leur propriété de rayer le verre standard (lame de verre blanc à vitre) et d’être rayé par une lame d’acier dur (type scie à métaux) (dureté de Mohs de l’ordre de 6 à 6,5). En combinaison avec d’autres minéraux, les feldspaths potassiques (ou alcalins ou orthoses) participent de la composition minéralogique modale des roches plutôt acides, telles les syénites et les granites (grenues) ou les trachytes et les rhyolites (microlithiques). Les plagioclases participent quant à eux et pour ce qui concerne les roches grenues, de la composition minéralogique modale des diorites, des gabbros, plus rarement des tonalites, et parfois des syénites. Lorsque l’on en retrouve dans les roches microlithiques, il s’agit la plupart du temps d’andésites ou de basaltes.” [Source : Wikipedia]
Les différents silicates qui composent le granite.
“Le carbonate est, en chimie, un ion formé d’un atome de carbone et de trois atomes d’oxygène portant une double charge électrique négative (CO32-), ou un composé chimique comprenant cet anion.
En géologie, un carbonate désigne une famille d’espèces minérales caractérisées par l’ion carbonate, telle que l’aragonite, la calcite ou la dolomite.
Sur terre, sur le long terme, les carbonates jouent un rôle majeur dans le rétrocontrôle du climat et des gaz à effet de serre via le cycle du carbone. Ils constituent (dans le manteau terrestre, après sédimentation dans les océans et surtout sous forme de carbonate de calcium) l’essentiel des puits (« durables ») de carbone.
Quelques exemples de carbonates :
-
- carbonate de baryum : BaCO3
- carbonate de manganèse : MnCO3“. [Source : Wikipedia]
Structure d’un carbonate, vous y ajoutez deux atomes de calcium et vous obtenez un carbonate de calcium (CaCO3).
Pierre calcaire naturelle, riche en carbonate de calcium (CaCO3).
“Une base est un produit chimique qui, à l’inverse d’un acide, est capable de capturer un ou plusieurs protons ou, réciproquement, de fournir des électrons. Un milieu riche en bases est dit basique ou alcalin. Il existe différents modèles chimiques pour expliquer le comportement des bases. La réaction chimique d’un acide et d’une base donne un sel et de l’eau. C’est un produit caustique, qui peut provoquer des brûlures. Les bases les plus connues sont la chaux vive, l’ammoniaque et la soude.
Le natron désigne un minéral défini de formule Na2CO3·10H2O, mais aussi une roche évaporitique, contenant principalement du carbonate de sodium décahydraté, de formule Na2CO3·10H2O, du bicarbonate de sodium et des dépôts salins, et plus rarement d’autres hydrates, comme le monohydrate de carbonate de sodium ou thermonatrite, voire la forme anhydride de carbonate de sodium nommée soude, produits à base de carbonate de sodium qui en justifient l’exploitation industrielle. Cet alcali, nommé Soda en langue allemande, se présente aussi sous la forme d’une substance blanche, évanescente, que l’on trouve au bord de certains lacs sodés, temporaires ou permanents, à eaux saumâtres du désert. Le mot natron, équivalent à la “soude minérale” en français, est apparenté au terme latin natrium, qui par l’allemand “das Natrium” est bien à l’origine du symbole du sodium (Na).
Un lac de natron dans un ancien cratère au Tibesti (Tchad).
Lacs amers d’Égypte, grande source de natron.
Ouvriers égyptiens dans une carrière de natron. Pour voir plus d’images, c’est par ici : “http://izismile.com/2015/04/14/egyptian_labourers_r
Différentes utilisations du natron :
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- produit générique de nettoyage ménager et d’espace salubre, réparti et frotté à sec
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- agent détergent à base d’eau
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- produit technique de désinfection (insecticide, bactéricide) et antiseptique médical pour blessures légères
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- agent de conservation alimentaire (poissons, viandes), à dose sèche mesurée, probablement souvent en association avec le sel.
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- agent (desséchant, agrégeant ou durcisseur ?) dans la préparation des cuirs et la confection textile.
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- agent de nettoyage, d’abrasion ou de collecte de métaux nobles, composant de flux de brasage en métallurgie
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- ingrédient de couleur tel quel constituant le bleu égyptien des céramiques
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- ingrédients dans les huiles d’éclairage brûlant sans fumée (lampes à huile de castor)
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- pour la propreté et les soins du corps, à faible dose sèche en particulier les dents, les bains de bouches et surtout en association avec de l’huile odorante pour la toilette,
- pour les soins mortuaires, en particulier la momification des corps où il est le principal agent de conservation utilisé. Il servait à déshydrater le corps.” [Source : Wikipedia]
Il faut savoir que la production industrielle du natron existait déjà au 18e siècle grâce au procédé Leblanc qui est un ancien procédé chimique, fortement coûteux en énergie, qui permettait d’obtenir du carbonate de sodium (Na2CO3) à partir de sel marin. Le carbonate de sodium était un ingrédient nécessaire aux industries du verre, mais aussi du savon, des textiles (blanchissage du linge et dégraissage des laines) et du papier.
Réactions chimiques du procédé LeBlanc (vert = réactifs, noir = intermédiaire, rouge = produits)
Pour faire le mélange des composés géologiques, il faut de l’eau, beaucoup d’eau! C’est pour cela que la plupart des constructions égyptiennes sont près du Nil. On notera aussi que les blocs des pyramides d’Égypte contiennent 40% d’eau à l’heure d’aujourd’hui.
Bras du Nil qui servit de source d’eau et qui fut recouvert après les travaux.
Pour faire du calcaire réaggloméré, les scientifiques de l’expédition d’Égypte ont fait dans une composition simple :
- Sable qui se trouve dans le désert de Gizeh
- Calcaire qui se trouve sur le plateau de Gizeh, le Sphinx est un immense bloc de calcaire et ce qui l’entoure aussi
- Natron venant des lacs amers d’Égypte
- Eau venant du Nil
Voyons voir en vidéo, le procédé de réagglomération avec ces composés grâce au géologue français Joseph Davidovits :
Lien vers la vidéo de Joseph Davidovits : “Est-ce que les pyramides sont faites en béton, un calcaire réagloméré artificiel?” (Durée de la vidéo : 5mn).
Voici différentes listes pour comprendre que les ingrédients de la Pierre Réagglomérée sont facilement trouvable dans la nature et qu’il est intéressant de voir qu’elle peut prendre différentes couleurs et aspect selon les éléments chimiques utilisés.
Pour une meilleur compréhension, voici un schéma qui récapitule la réagglomération. Vous rajoutez le carbonate (vous pouvez aussi utiliser du sulfate ou un oxyde) avec le quartz (silicate), la base [M = Na (natron), K (potassium), Li (lithium)] et l’eau, que vous voyez en haut à gauche sur le schéma, pour obtenir votre composé réaggloméré.
Tableau des différents carbonates que vous pouvez utiliser avec le schéma ci-dessus.
Liste des différentes couleurs que vous pouvez obtenir avec différents carbonates que vous utilisez et les impuretés qui vont avec. À Gizeh, comme le carbonate utilisé est du carbonate de calcium/magnésium (CaMg(CO3)2), cela donne c’est couleurs jaune-brun au bloc de béton polymère.
“Le , Bonaparte quitte Toulon avec le gros de la flotte française et parvient à échapper à la poursuite de la flotte britannique de Nelson. Les Français s’emparent d’abord de Malte, les et , pour assurer les communications ultérieures entre la France et l’Égypte. Le , après avoir laissé une garnison de 3 000 hommes sur place, la flotte met le cap sur Alexandrie qu’elle atteint le . Après une courte résistance, la ville est prise le lendemain.” [Source: Wikipedia]
Ce fut en 1798, que Napoléon, son armée de soldats et de scientifiques venant de l’Académie des Sciences (qui formeront cette même année le fameux Institut d’Égypte, les débuts de l’égyptologie), ont quitté Toulon pour faire escale sur l’île de Malte et chassés les Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem (Templiers) pour leurs voler la recette de la Pierre Réagglomérée : la Pierre Philosophale. Et ensuite ils débarquerons en Égypte, avec pour projet la création d’un nouveau système de mesure (le système métrique), de définir le méridien de Gizeh et le percement de l’isthme de Suez (pour raccorder la Mer Rouge à la Mer Méditerranée.
Il faut savoir que faire de la pierre réagglomérée avec une formule bien plus compliquée que le calcaire réaggloméré était déjà pratiqué au 18e siècle avec de la Malachite Synthétique, réagglomérée avec du sulfate de cuivre par le chimiste Balthazar Georges Sage et qu’on retrouve dans son livre “Mémoires de Chimie“.
Cristaux de malachite naturelle.
Malachite synthétique.
Colonnes en Malachite artificielle (carbonate de cuivre) de la cathédrale Saint-Isaac à Saint-Pétersboug en Russie. Il n’existe pas de bloc de malachite naturelle assez gros, pour ensuite le tailler et en faire un bloc de colonne.
Nous vous présentons la formule chimique de la malachite Cu2(CO3)(OH)2 , vous pouvez constater qu’elle contient du carbonate de cuivre Cu2(CO3). Balthazar Georges Sage utilisa une base ammoniac pour réaggloméré de la malachite avec du cuivre, et comme vu plus haut, selon le carbonate utilisé, grâce à l’oxydation, vous obtenez la couleurs souhaitée, et en l’occurrence du vert avec du cuivre.
Balthazar Georges Sage, né à Paris le 7 mars 1740, décédé le 9 septembre 1824 est un chimiste et minéralogiste français.
“Mémoires de Chimie” de M. Sage (1773), page titre.
“Mémoires de Chimie” de M. Sage (1773), page 211 et 212.
Selon la doxa des égyptologues, les blocs en granite et diorite des pyramides de Gizeh ont été taillés à même la roche : quelle belle mystification! Ce sont tout simplement des blocs réagglomérés grâce à une technique du 19e siècle : l’électrosynthèse via l’électrochimie.
“L’électrochimie est la discipline scientifique qui s’intéresse aux relations entre la chimie et l’électricité. Elle décrit les phénomènes chimiques couplés à des échanges réciproques d’énergie électrique. L’électrochimie comprend toutes technologies et techniques issues de ses travaux scientifiques (électrolyse, corrosion, piles, batteries, électrodéposition, etc.).
De plus, l’électrochimie s’intéresse à des systèmes hétérogènes comportant aux deux extrémités des matériaux conducteurs électroniques (métal, carbone…) et, entre ces deux conducteurs, au moins un matériau conducteur ionique (électrolyte liquide ou gélifié, sel fondu…).” [Source Wikipedia]
“L’électrosynthèse est parfois utilisée dans l’industrie chimique lourde au détriment d’une synthèse par voie thermique, les procédés d’électrosynthèse étant généralement plus facilement contrôlables et sélectifs. Les principales matières premières produites par électrosynthèse sont : l’aluminium (environ 24 Mt/an), le dichlore et la soude (environ 40 Mt/an). On produit également en quantité moindre du difluor, du lithium, du sodium, du magnésium et du dihydrogène.
On rangera dans la même catégorie la purification de certains métaux par électroaffinage (notamment le cuivre, le zinc et l’aluminium).” [Source : Wikipedia]
Blocs de granites recomposés de la pyramide de Mykérinos.
“Le granite est une roche plutoniquemagmatique à texture grenue, cette texture étant à l’origine de son nom dérivé du latin granum, grain. Le granite est le résultat du refroidissement lent, en profondeur, de grandes masses de magma intrusif qui formeront le plus souvent des plutons, ces derniers affleurant actuellement, en surface grâce au jeu de l’érosion qui a décapé les roches sus-jacentes. Ces magmas acides (c’est-à-dire relativement riches en silice) sont essentiellement le résultat de la fusion partielle de la croûte terrestre continentale. Certains granites (plagiogranites) rencontrés en petits plutons dans la croûte océanique sont, quant à eux, le résultat de la différenciation ultime de magmas basiques. Ses minéraux constitutifs sont principalement du quartz, des micas (biotite ou muscovite), des feldspaths potassiques (orthoses) et des plagioclases. Ils peuvent contenir également de la hornblende, de la magnétite, du grenat, du zircon et de l’apatite. En tout, on dénombre aujourd’hui plus de 500 couleurs de granites différentes.
Les roches volcaniques correspondantes sont les rhyolites.
La composition chimique moyenne du granite est : 74,5 % de SiO2, 14 % de Al2O3, 9,5 % de (Na2O, K2O), 2 % d’oxydes (Fe, Mn, Mg, Ca).” [Source : Wikipedia]
Pour faire du granite recomposé, il faut de la silice (sable : mica, quartz, feldspath (SiO2)), de l’alumine (Al2O3), une base natron ou potassium et de l’eau. Sans oublier d’utiliser l’électrosynthèse pour activer les anions pour une plus grande dureté sur l’échelle de Mohs.
Tombeau en “Granite Réaggloméré” de la pyramide de Khéops.
Colonne égyptienne en granite du musée du Louvre à Paris, on peut constater qu’on a utilisé deux recettes différentes pour réagglomérer le granite. On peut constater que la partie basse est plus riche en alumine (beaucoup plus rougeâtre) que la partie haute.
Sphinx en granite “réaggloméré” du musée du Louvre à Paris datant du “3e millénaire avant J.C” : bel artefact du 19e, 20e siècle.
“La diorite est une roche magmatiqueplutoniquegrenue composée de plagioclase, d’amphibole verte (hornblende) et de mica (y compris parfois de la biotite même si elle est plus rare). Elle se distingue du gabbro par l’absence d’olivine.” [Source Wikipedia]
La composition d’une diorite recomposée se fait avec plusieurs familles de silicates : quartz SiO2, mica biotite K(Mg,Fe)3(OH,F)2(Si3AlO10) et feldspath potassique (KAlSi3O8), sans oublier la base alcaline (potassium), l’eau et l’électrosynthèse.
Trace laissée par l’anode de l’électrosynthése sur des blocs en granite et diorite de pyramides.
Deux sphinx en diorite avec la trace de l’anode de l’électrosynthèse, musée du Louvre, Paris. Lien vers la vidéo : “https://www.facebook.com/Frconnan/videos/vb.1496853
Quand on voit la dureté d’une pierre comme le granite et la diorite, on se demande comment les “soi-disant égyptiens antiques” taillèrent ces pierres. Le secret est dans la réagglomération, sauf que la dureté de dure pas dans le temps.
Comme vu plus haut dans la définition du natron, nous rappelons que pour la conservation d’un corps, il est un produit idéal! Faire un énorme chantier dans le désert a entrainé la mort de plusieurs ouvriers et heureusement que le natron était là pour conserver les corps et les ramener en France. Quand on regarde l’haplogroupe Y des momies d’Égypte, on constate que c’est du R1b : l’haplogroupe des européens de l’ouest. Pour étayer la civilisation “antique” égyptienne, on a détourné des corps de grognards, qu’on a conservé avec du natron et séché au soleil (le soleil d’Égypte!), pour les faire passer pour des corps de pharaons “millénaires” et entretenir un commerce tout autour (les “faux” des antiquaires).
Corps de pauvres soldat français de l’armée de Napoléon conservés avec du natron et séchés au soleil. On se demandait pourquoi elles étaient aussi blondes.
Carte des haplogroupes Y d’Europe. On peut constater que les R1b viennent de l’Europe de l’ouest (France, Royaume-Uni, péninsule ibérique, etc…). Si les momies avaient été d’origine égyptienne, on aurait trouvait l’haplogroupe E et J1.
Pierre Loti, avant et après avoir traité le corps avec du natron.
Pour bâtir la vallée des Rois à Louxor en Égypte, on n’a pas coulé du béton, ni même creusé les petites montagnes, on a utilisé de l’acide chlorhydrique (H3O+Cl–) qui réagit au carbonate de calcium (CaCO3), ce qui entraine la dissolution de cette matière : plus besoin de creuser.
Vallée des Rois à Louxor en Égypte, site très riche en calcaire (carbonate de calcium)
“L’acide chlorhydrique concentré ou dilué, noté HClaqueux se présente essentiellement sous forme d’une solution aqueuse contenant les solutés ioniques suivants :
- les ions de type oxonium ou hydronium; plus précisément des ions hydrates d’hydrogène noté H3O+ diversement solvatés, en moyenne par 5 molécules d’eau.
- les ions chlorureCl–.
On peut l’obtenir par dissolution dans l’eau (H2O) du gaz chlorure d’hydrogène (HCl). Le gaz HClgaz est un acide fort qui s’ionise totalement en solution aqueuse. L’acide chlorhydrique est le principal constituant des acides gastriques. Cet acide minéral est couramment utilisé comme réactif dans l’industrie chimique. L’acide chlorhydrique concentré est un liquide très corrosif aux émanations ou “fumées” toxiques, il doit être manié avec précaution4. L’acide chlorhydrique concentré peut avoir un pH inférieur à 1.
L’acide chlorhydrique était connu autrefois sous le nom d’acide muriatique ou d’esprit de sel, bien avant la découverte de l’élément chimique chlore ou la simple formule chimique HCl. Il aurait été découvert par l’alchimisteJabir Ibn Hayyan au voisinage de l’an 800. L’acide muriatique est une espèce chimique qui a été fréquemment utilisée depuis les débuts de la chimie. Au Moyen Âge, sous le nom d’« esprit de sel » qui dénote la proximité avec le sel marin NaCl, il était utilisé par les alchimistes dans leur quête de la pierre philosophale5 (ou acidum salis). Après Glauber, il fut ensuite encore plus communément utilisé au laboratoire de chimie, notamment au tournant du 18e siècle et 19e siècle par des scientifiques tels que Priestley ou Davy qui contribuèrent à établir la chimie moderne.” [Source : Wikipedia]
Réactions chimiques du procédé LeBlanc (vert = réactifs, noir = intermédiaire, rouge = produits)
“Le chlorure d’hydrogène, de symbole chimique HCl, est un gaz incolore toxique et hautement corrosif, qui forme des fumées blanches au contact de l’humidité. Ces fumées sont constituées d’acide chlorhydrique, qui se forme lorsque le chlorure d’hydrogène entre en contact avec de l’oxygène, formant ainsi de l’eau et de l’acide chlorhydrique. Le chlorure d’hydrogène, à l’instar de l’acide chlorhydrique, est un produit chimique important en chimie, dans l’industrie ou dans la science. Le nom HCl se réfère parfois de manière impropre à l’acide chlorhydrique au lieu du chlorure d’hydrogène gazeux. Les chimistes parlent également d’acide chlorhydrique gazeux ou anhydre pour se référer au chlorure d’hydrogène.
Le chlorure d’hydrogène est connu depuis le Moyen Âge, où les alchimistes savaient que l’acide chlorhydrique (connu alors sous le nom d’esprit de sel ou acidum salis) était dans certaines circonstances lié à des vapeurs appelées gaz acide marin.
Au 17e siècle, Johann Rudolf Glauber utilisa du sel (chlorure de sodium) et de l’acide sulfurique pour fabriquer du sulfate de sodium, avec pour produit secondaire de réaction du chlorure d’hydrogène :
2 NaCl + H2SO4 → 2 HCl + Na2SO4
Cette découverte est parfois attribuée à Carl Wilhelm Scheele, qui mit également en œuvre cette réaction en 1772. Joseph Priestley obtint du chlorure d’hydrogène pur en 1772, et en 1818, Humphry Davy démontra que ce gaz est composé d’hydrogène et de chlore.
Lalibela, dans la région Amhara en Éthiopie, beau travail à l’acide chlorhydrique dans un site riche en calcite (carbonate de calcium).
Pyramide d’Austerlitz en Hollande, bâtie par l’armée de Napoléon en 1804. Il y pousse des pyramides quand l’armée napoléonienne passe.
Pyramide du mémorial du Prince Albert à Balmoral en Écosse, Bâtie au 19e siècle.
Pyramide de Cestius à Rome.
Pyramide de Falicon, à côté de Nice en France, bâtie par les soldats de Napoléon à leur retour d’Égypte au 19e siècle.
Pyramide d’Alexandre Golod près de Moscou en Russie, bâtie au 20e siècle.
Cathédrale de Cologne en Allemagne, on peut constater qu’avec le temps, la pierre noircie, à la différence des pyramides de Gizeh qui sont toutes claires, alors qu’elles seraient plus vieilles que la cathédrale.
Trace laissée par les séismes du 19e et 20e siècle qu’on subit les pyramides de Gizeh, les blocs n’ont pas tenu, alors imaginez-vous si les pyramides avaient 4.500 ans et auraient subi les séisme tout ce temps-là.
Pyramides de Méroé au Soudan, on peut constater que les pierres noircissent à la différence de celles de Gizeh et que les pierres claires sont limite proche du neuf voir du ravalement. Normal, les pyramides sont entretenues pour que les touristes admirent le travail du maçon “antique” égyptien.
[DÉBUNKAGE] Les PYRAMIDES d’ÉGYPTE n’ont pas plus de 220ans!! [partie 3]
Les pyramides de Gizeh, que de mystères qui entourent ces constructions cyclopéennes! Les égyptologues et les scientifiques sont mitigés sur l’époque de leur construction : de 4.000 ans, à 10.000 ans, jusqu’à 13.000 ans! De même que de la technique de construction, les avis divergent. Quant aux architectes des pyramides, il y aurait différents auteurs : des égyptiens, des homme reptiliens, en passant par des extra-terrestre pour finir par des géants atlantes. C’est à celui qui produira la théorie la plus extravagante qui soit! Mais qu’en est-il exactement?
C’est dans les années 2000, qu’Anatoly Fomenko et Gleb Nosovsky. deux scientifiques et mathématiciens russes (auteurs de la “Nouvelle Chronologie“), ont publié leurs travaux sous forme de documentaire, “L’Alchimie des Pyramides” et “La Reconstruction de l’Histoire“, pour démontrer que les pyramides de Gizeh étaient en BÉTON et ne pouvaient avoir plus de 700 ans.
Et c’est en 2012, que leurs collègues scientifiques russes, Igor Davidenko et Alexandre Grinine, scientifiques et géologues, publieront une vidéo, “La Grande Déception de l‘Égypte Antique, “, qui démontrera que les pyramides de Gizeh ne pouvent avoir plus de 220 ans et ont été bâties lors de la Campagne d’Égypte Napoléonienne!
Du coté anglais, ce sera l’ingénieur Scott Creighton qui dénoncera l’imposture de l’ancienneté des Pyramides de Gizeh.
Notre travail sera de vous mettre en texte et en image, à travers ce blog et en s’appuyant sur ces vidéos, la démonstration que le plateau de Gizeh est une œuvre “FRANCO-ÉGYPTIENNE” du 19e siècle, nous y exploiterons les aspects scientifiques, historiques, géologiques, minéralogiques, politiques et géopolitiques.
Pour cette troisième publication, nous aborderons les Livres d’Égyptologie dit “Anciens” et le Mythe de la Famille Impériale Égyptienne d’Akhenaton. Les égyptologues du 19ème et 20ème siècles, pour étayer de l’ancienneté de la “Civilisation Égyptienne” qui a été bâtie au 19ème siècle par le Génie Civil Français, ce serviront de ces livres de fictions pour la justifier. Aujourd’hui, nous allons voir ses livres “anciens” qui décrivent les pyramides et le plateau de Gizeh dans une première partie, puis nous verrons le mythe de la grande dynastie égyptienne d’Akhenaton dans une deuxième partie.
En vous souhaitant une bonne lecture et vraie découverte du “Secret des Fameuses Pyramides de Gizeh“.
– NAPOLÉON, l’Institut d’Égypte (Académie Française) et l’Armée Française creuseront l’Isthme de Suez, bâtiront les 3 Petites Pyramides, la Tête du Sphinx, les Pyramides de Méroé et la Vallée des Rois de 1798 à 1801– FERDINAND DE LESSEPS et le Génie Civil Français creuseront le Canal de Suez, bâtiront les 3 Grandes Pyramides et le Corps du Sphinx de 1859 à 1869
– Des PYRAMIDES en BÉTON (fabriqué avec du natron)
– Des corps de SOLDATS FRANÇAIS détournés en MOMIE (conservés avec du natron)
– Des ARTEFACTS en GRANITES et DIORITES (réagglomérés avec du natron)
Description du plateau de Gizeh de nos jours, pour que vous puissiez comparer avec les “anciennes” descriptions qui vont suivre.
- Dans ce recueil, Hérodote prétend que la pyramide de Khéops est plus grande que celle de Khephren de 40 pieds (~12 mètres), sauf que la réalité est que la pyramide de Khephren (hauteur de 143 mètres) est plus grande de 6 mètres que la pyramide de Khéops (hauteur de 137 mètres)
Le missionnaire Jésuite Athanasius Kircher nous a laissé une description des pyramides datant de 1654.
Illustration page 403.
- Les pyramides n’ont pas la même forme, elles sont coniques
- Les pyramides pourraient être associées à celle de Méroé, sauf qu’elles n’ont pas d’entrée
- Les pyramides ne sont pas disposées comme de nos jours
- On ne voit pas le Sphinx et ni le Nil
- On peut constater de la végétation, ce qui n’est pas le cas du plateau de Gizeh
Illustration page 417, les momies ont été découvertes au 19ème siècle, encore un anachronisme évident.
- Les pyramides ressemblent à celle de Méroé, sauf qu’il manque l’entrée
Illustration.
- Il n’y qu’une pyramide
- Il n’y a pas d’obélisque sur le plateau de Gizeh
- Le Sphinx (à gauche de la pyramide) n’est représenté qu’avec une tête sur un piédestal
- Le Sphinx ne ressemble pas à un sphinx
- Il manque des pyramides
- Les pyramides sont coniques
- Les pyramides ne sont pas disposées correctement
- Le Sphinx est disproportionné par rapport aux hommes qui sont devant
- Le Sphinx ne ressemble pas à ce qu’on peut voir aujourd’hui
- Les dunes de sables ne sont pas aussi énormes sur le plateau de Gizeh
- Il n’y a qu’une pyramide
- Il n’y a pas d’obélisque sur le plateau de Gizeh
- Les pyramides ne sont pas disposées correctement
- Ils manquent des pyramides
- Le Sphinx est disproportionné et ne ressemble pas à un sphinx
- Le Sphinx est censé regarder vers l’Est, sur cette image, il regarde vers le Nord
- Les pyramides sont coniques
- Les pyramides ne sont pas disposées correctement
- Il y a deux Sphinx (page droite et page gauche) qui ne sont pas disposés comme sur le plateau de Gizeh actuel
- Les pyramides ne sont pas disposées correctement
- Il y a 2 Sphinx ne regardant pas dans le même direction
- On peut constater d’autres pyramides sur l’autre rive du Nil
- La pyramide fait 1000 pieds de haut, soit ~300 mètres en sachant que la plus grande pyramide d’Égypte, c’est-à-dire Khephren, fait 143.5 mètres de haut
- La pyramide ressemble à celle que l’on trouve à Méroé sauf qu’il n’y a pas d’entrée
- La pyramide fait 1400 pieds de haut, soit ~400 mètres en sachant que la plus grande pyramide d’Égypte, c’est-à-dire Khephren, fait 143.5 mètres de haut
- La pyramide ressemble à celle que l’on trouve à Méroé sauf qu’il n’y a pas d’entrée
- Les pyramides sont de forme ovale pour les 2 premières
- On ne retrouve pas ce genre de pyramide en Égypte
- La troisième ne ressemble pas à celle de Meïdoum
- On ne retrouve pas ce genre de pyramide à fenêtre en Égypte
- On retrouve ces pyramides en Turquie : les pyramides d’Avanos
- La Grande Pyramide serait Khéops, alors que Khephren est plus grande
- La porte de Khéops n’est pas murée alors que de nos jours, elle l’est encore
- Il manque 3 petites pyramides devant Khéops
- Cette description est très proche du plateau de Gizeh de nos jours
- Le voyageur Georges Sandys n’a pas toujours décrit et représenté le plateau de cette façon (voir les illustrations ci-dessus et ci-dessous)
- Les pyramides ne ressemblent pas à celle de Gizeh mais à celle de Méroé
- Les pyramides sont mal disposées par rapport à aujourd’hui
- Elles ont l’air d’avoir le même volume
- Il y a 2 sphinx ne regardant pas dans la bonne direction
- Les pyramides de Gizeh sont disposées, il manque le Sphinx
- Les pyramides de Dahchour sont mal disposées
- Les pyramides ne sont pas disposées correctement
- Il y a des pyramides supplémentaires par rapport à aujourd’hui
- Il y a deux sphinx
- Ils manquent les petites pyramides devant Mykérinos
- On retrouve les mesures correspondantes aux pyramides de Gizeh à quelques dizaines de mètres près : 680 pieds donneront ~207 mètres, Khephren mesurant à sa base 215 mètres et Kheops 230 mètres
- On retrouve les mesures correspondantes aux pyramides de Gizeh à quelques dizaines de mètres près : 680 pieds donneront ~207 mètres, Khephren mesurant à sa base 215 mètres et Kheops 230 mètres
- Il manque la pyramide de Mykérinos
- La pyramide de Khéops est devant celle de Khephren, ça devrait être l’inverse
Conclusion
Ce sera l’Égyptologue Anglais Arthur Weigal qui inspiré par Napoléon III, sa femme Eugénie de Montijo et de leur fils Napoléon IV exilés en Angleterre, créera le personnage d’Akhenaton à partir de la vie de Napoléon III.
Par la suite, on créera la femme d’Akhenaton, Néfertiti, à partir de la vie de l’Impératrice Eugénie de Montijo.
Et pour conclure le tout, pour rendre hommage à leur fils Napoléon IV mort jeune en combattant des Guerriers Zoulous, l’Égyptologue Howard Carter créera Toutânkhamon et sa sépulture.
Nous pouvons conclure que le Mythe de la Famille Impériale Égyptienne d’Akhenaton fut créé entre le 18ème et le 19ème siècles par des égyptologues anglais en s’inspirant de Napoléon III, sa femme et son fils Napoléon IV pour leur rendre hommage et commercer avec l’égyptologie.
Fin de la troisième partie.