Microzymas et véritable biologie
La véritable biologie — basée sur l’étude objective du vivant
Il faut savoir qu’il existe, au sein de toute matière vivante, de minuscules granulations animées du mouvement brownien – c’est-à-dire d’une sorte de danse perpétuelle. Elles sont observables très facilement au microscope à partir d’un grossissement de 750 (les microscopes optiques modernes grossissent jusqu’à environ 2000). Elles sont connues depuis qu’existe le microscope (époque de Galilée). Mais c’est le Pr. Antoine BÉCHAMP qui les a étudiés avec le plus de sérieux et de rigueur scientifique. Il les a baptisés MICROZYMAS, de “ZYMA” qui signifie “la vie”.
Au terme de plus de 20 ans de recherches et d’expérimentations, il en a conclu :
- Que chaque microzyma est quasiment éternel : on retrouve des microzymas vivants dans des fossiles de plus de douze millions d’années, de même qu’au sein des principaux météorites assez volumineux recensés sur la planète (les géologues parlent de “nanobes” ou “nanobactéries”).
- Que les microzymas sont spécifiques d’un individu donné. De ce fait, il est probable qu’ils sont les seuls responsables de la lecture et de la transmission des caractères héréditaires. Ces caractères seraient en fait des informations présentes en son sein ou dans l’eau vivante dans laquelle ils baignent, probablement sous forme purement énergétique, inscrits là de façon très labile, comme sur une bande magnétique. Il est probable qu’ils oublient une partie de ces informations dans certains organes lorsque la différenciation et la spécialisation s’accentuent de façon très importante.
Cette notion justifie l’abandon de la théorie de la contagion de Pasteur : en effet, tout microzyma étranger en visite dans un organisme qui n’est pas le sien, est conscient qu’il n’est pas chez lui et n’a de cesse de repartir. Il ne se développera ni ne se multipliera jamais ailleurs que chez lui. Ce qui explique le rejet systématique des greffes, qui n’est probablement pas un phénomène de rejet mais un départ volontaire de ces microzymas étrangers.
- Qu’il est avant tout capable de fabriquer certaines enzymes ou “zymases”, c’est-à-dire des substances organiques étonnantes dont le mystère n’est toujours pas élucidé à ce jour. Il faut voir le Pr. Béchamp s’extasier devant la puissance de l’action des zymases (dans son livre “LES MICROZYMAS”) comparativement à celle des acides forts ! “On dirait que les zymases se souviennent de leur origine, qui est un organisme vivant : elles y ont puisé une force qui supplée la chaleur !” (p290). Et un peu plus loin : “Qu’un alcali caustique, un acide puissant, attaque et transforme des matières organiques, il n’y a là rien qui surprenne. Mais que des zymases, des corps sans réaction chimique violente, pas du tout acides ou alcalins, opèrent des transformations aussi profondes que l’acide sulfurique ou la potasse, et à dose extraordinairement moindre, et à température peu élevée (généralement la température physiologique : 37 à 40°), voilà qui a lieu de surprendre. Et c’est là l’effet d’une merveilleuse harmonie : les acides auraient produit des désordres redoutables là où les zymases agissent avec une douceur physiologique digne de la plus grande attention et qui provoque l’étonnement !” (p.301).
- Qu’il est ensuite capable de métaboliser certaines substances par un mécanisme de nutrition. On retrouve au niveau du MICROZYMA les diverses phases classiques que sont la digestion, l’assimilation, la respiration et la désassimilation. L’alcool de la fermentation alcoolique est en fait un produit de désassimilation du sucre !
Il faut savoir que ce travail de désassimilation peut être à l’origine de la fabrication de toxines : c’est ce que l’on observe dans le déroulement de certaines maladies comme les toxi-infections : le tétanos, le botulisme, la diphtérie, etc.. Dans ce cas, les microzymas, faute de certains éléments comme la vitamine C, rejettent des toxines particulièrement néfastes. Ils n’ont pas pu métaboliser complètement les substances ingérées : cela fait penser au mono-oxyde de carbone rejeté par certains poêles encrassés et mal entretenus.
- Qu’il est capable de se reproduire à très grande vitesse.
- En fonction des constantes bio-électroniques, de la température, de la présence ou non d’oxygène et de substances nutritives dans le milieu dans lequel il baigne, le MICROZYMA va pouvoir :
- S’associer à d’autres microzymas pour constituer tel ou tel germe (staphylocoque, streptocoque, colibacille, klebsiella etc.), mycelle (comme le candida), mycobactérie (comme le bacille tuberculeux), qui sera capable de remplir telle ou telle mission… Puis de redevenir microzymas ensuite ! Les MALADIES avec GERMES, MYCELLES ou MYCOBACTÉRIES sont donc toujours des PROCESSUS de GUÉRISON et de VIE. Elles ne prennent un caractère de gravité qu’en cas de carences importantes en certains éléments nutritifs, comme les protéines ou la vitamine C (la vitamine C n’est pas une vitamine comme son nom semble l’indiquer à tort, pas même un complément alimentaire. Elle est un aliment indispensable à la vie au même titre que les protéines et le sucre : son action semble comparable, pour les microzymas, à celle de la cortisone pour stimuler et réguler le tonus et l’activité de l’organisme dans son ensemble).
- Construire des fibres complexes en réunissant des protéines (la fibrine du sang par exemple comporte 95 % de protéines pour 5 % de microzymas), ces fibres pouvant ensuite constituer des membranes complexes comme la mère du vinaigre. Il est probable que l’architecture de base du corps — constituée de fibres collagènes et élastiques entremêlées dans les trois dimensions — relève du même processus.
- Construire des cellules puis des tissus, organes, et organismes complexes… La membrane cellulaire est constituée par des microzymas juxtaposés. Les noyaux cellulaires sont des réservoirs de microzymas.
La cellule n’est donc pas l’unité de base de la vie, mais bien le microzyma. La cellule ne se multiplie pas, elle est construite par les microzymas à la demande, et c’est vrai même pour les neurones.
Dans tous les cas, ces constructions faites par les microzymas peuvent être “démontées” pour redonner des microzymas. Ce sont eux qui sont véhiculés par les poussières de l’air, beaucoup plus que les germes de la fameuse panspermie atmosphérique montée au pinacle par Pasteur…
Les géologues et certains biologistes modernes, aujourd’hui, confirment les découvertes de Béchampl’une après l’autre : ce qu’ils appellent “nanobes” ou “nanobactéries” sont en fait des microzymas. Ils en ont étudié la longévité. Ils ont découvert des microzymas vivants à l’intérieur de météorites venant d’autres planètes, ce qui laisse à penser que la vie sur notre terre pourrait provenir d’une contamination extraterrestre par des microzymas ayant survécu dans le vide sidéral pendant des années-lumière…
Ils ont par ailleurs découvert la structure intime des microzymas grâce au microscope électronique à balayage. En effet, les microzymas sont les seuls êtres vivants capables de résister au bombardement d’électrons du microscope électronique (cette étude n’est possible que sur le vivant et non sur le mort où les microzymas ont disparu).
Les images qui en résultent font penser à la structure des filaments mycéliens, et les géologues évoquent donc la possibilité d’une reproduction sexuée. Mais curieusement, les biologistes auxquels ils ont communiqué leurs découvertes n’ont réagi que par un silence… de mort !
Le Pr. Philipa UWINS en Australie a pu démontrer par ailleurs la présence d’un cristal – très probablement de silice – au cœur de chaque microzyma, ce qui lui permettrait de « lire » les informations génétiques présentes dans l’eau environnante.
Nous avons encore beaucoup à chercher et explorer. Il ne nous manque que le temps et le matériel, puisqu’un microscope électronique semble indispensable pour aller plus loin !
Alain SCOHY
Source YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=sG0U-1eIFYg