Titre original : The Great Global Warming Swindle
Année : 2007
Pays d’origine : Royaume-Uni
Date de sortie (pays d’origine) : 8 mars 2007
Réalisateur : Martin Durkin
Scénariste : Martin Durkin
Synopsis : Ce documentaire conteste la théorie selon laquelle l’homme et ses activités seraient la principale cause du réchauffement climatique.
The Great Global Warming Swindle1 (aussi connu sous le titre La Grande Arnaque du réchauffement climatique) est un film documentaire du producteur de télévision britannique Martin Durkin, qui conteste la conclusion des travaux du GIEC, selon laquelle l’activité humaine serait la principale cause du réchauffement climatique. Le film montre le témoignage de scientifiques, d’économistes, de politiciens, d’écrivains et d’autres personnes sceptiques quant au consensus scientifique sur l’origine anthropique du réchauffement climatique. La publicité du programme affirme que le réchauffement climatique provoqué par l’homme est un mensonge et la plus grande supercherie des temps modernes.
Ce film rassemble les opinions d’un certain nombre de scientifiques qui sont arrivés aux mêmes conclusions. « C’est un film polémique mais nous croyons qu’il est important que tous les côtés du débat soient diffusés ».
Points de vue développés dans le documentaire
L’actuel consensus scientifique sur le réchauffement climatique présente de nombreuses failles, et les intérêts particuliers financiers au sein de l’établissement scientifique et les médias découragent le public et la communauté scientifique de le reconnaître ou même d’en débattre. Le film décrit le consensus scientifique rendu public comme le résultat d’une « industrie activiste concernant le réchauffement climatique » motivée par un besoin de financement de la recherche.
Les personnes interviewées dans le film sont l’écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace et depuis un de ses critiques virulents ; Richard Lindzen, professeur de météorologie au Massachusetts Institute of Technology ; Patrick Michaels, enseignant chercheur en sciences de l’environnement à l’université de Virginie ; Nigel Calder, rédacteur en chef du New Scientist de 1962 à 1966 ; John Christy, professeur et directeur du centre de recherche en science de la Terre de l’université de l’Alabama ; Paul Reiter entomologiste à l’Institut Pasteur ; Piers Corbyn ; Tim Ball, professeur de géographie.
Affirmations émises dans le documentaire
Le film affirme que le consensus sur le changement climatique est le résultat « d’une industrie mondiale de plusieurs milliards de dollars: créé par des écologistes fanatiques anti-industriels ; soutenus par des scientifiques colportant des histoires effrayantes pour récolter des fonds ; et consolidés par la complicité des politiciens et des médias ».
Concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique
À cause de l’importante masse océanique, le changement de température a mis des centaines d’années pour affecter la masse des océans. C’est pourquoi l’analyse de la base antarctique Vostok et d’autres carottes de glace montre que les changements de la concentration de CO2 atmosphérique suit les changements de température globale avec un retard de 800 ans.
La concentration totale de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre s’élève seulement à 0,054 %, une quantité très faible. L’être humain est responsable de beaucoup moins de 1 % de ce total. Le documentaire déclare que les volcans produisent plus de CO2 par an que l’homme alors que les plantes et les animaux produisent 150 gigatonnes de CO2 chaque année. Les feuilles mortes produisent même plus de CO2, et les océans sont « de loin la plus grande source de CO2 ». L’activité humaine produit seulement 6,5 gigatonnes de CO2 chaque année. Le film conclut que l’émission de CO2 d’origine anthropique ne peut alors être la cause du réchauffement climatique.
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