Sans que le public n’y prête attention, la Commission européenne prévoit d’introduire d’ici 2030, de manière généralisée et obligatoire, ce qu’on appelle le portefeuille d’identité numérique, sous le nom de « EUid-Wallet ». Pour ce faire, un montant considérable de 90 millions d’euros sera investi dans quatre projets pilotes, dans le cadre desquels de nombreuses applications seront également testées.
Il s’agit de l’accès aux services administratifs de l’État et aux prestations de sécurité sociale, de la fourniture de passeports et de visas ainsi que de permis de conduire, d’ordonnances médicales et de certificats de formation ou de preuves d’identité professionnelle. D’autres domaines d’application sont la signature juridiquement obligatoire de contrats, l’enregistrement de cartes SIM pour les réseaux de téléphonie mobile et l’ouverture de comptes bancaires ou la possibilité d’effectuer des paiements en ligne. Il est même prévu d’associer le portefeuille EUid à un numéro d’identification personnel valable à vie.
En ce qui concerne l’Allemagne, le concept d’aménagement national du portefeuille EUi prévoit que les activités suivantes passent par lui : la preuve de la parentalité, l’enregistrement des certificats officiels de bonne conduite et l’identification à l’occasion de l’ouverture de comptes pour l’échange de courriels ou l’utilisation de médias sociaux, les inscriptions dans les hôtels ainsi que l’achat personnalisé de billets d’événements.
Il est évident que si le portefeuille EUid était introduit, les possibilités d’abus de pouvoir seraient presque illimitées. Les autorités étatiques pourraient à l’avenir surveiller les citoyens avec beaucoup moins de travail administratif, pour ainsi dire d’un simple clic de souris, et imposer des sanctions à volonté si nécessaire. Il serait également possible d’orienter le comportement des citoyens pour atteindre des objectifs politiques ou économiques. Ces deux aspects sont déjà activement pratiqués aujourd’hui en République populaire de Chine. Par exemple, la mobilité des citoyens pourrait être limitée après l’épuisement des « budgets CO2 » personnels pour des raisons de « protection du climat ».
Mais un comportement indésirable pourrait aussi rapidement conduire au blocage des comptes numériques et donc à l’incapacité d’agir des personnes concernées.
Il est évident que le portefeuille EUid, en tant qu’instrument pointu de l’État, serait utilisable à volonté et facilement pour restreindre les opposants, ou même les éliminer d’un clic de souris, et qu’il n’y aurait pratiquement plus de possibilités de se défendre.
Un contrôle total de la population en serait la conséquence, conduisant au “Nouvel ordre mondial” désormais ouvertement propagé. C’est ainsi que le fondateur du Forum économique mondial (FEM), Klaus Schwab, entre autres, s’y engage activement. Et les objectifs du FEM prévoient clairement que l’humanité doit être surveillée et dirigée dans une large mesure.
Chers téléspectateurs, aucun d’entre nous ne veut se réveiller dans un esclavage numérique contre lequel il ne pourra plus guère se défendre par la suite. Profitons maintenant ensemble de la possibilité d’informer notre entourage de l’évolution actuelle et de le sensibiliser à ce sujet. La diffusion de cette émission et d’autres émissions novatrices, que nous afficherons ensuite, est un instrument possible pour apporter la lumière dans ces ténèbres également. Unis dans la vérité et les efforts pour la liberté et la paix, rien ne nous est impossible.
Liens :
Bruxelles prévoit de créer une pieuvre de données géante :
https://paz.de/artikel/bruessel-plant-einen-gigantischen-daten-kraken-a9747.html